Sarcophages en Provence


Sarcophage des époux. Musée de l’Arles Antique © Verlinden.

 

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Sarcophages en Provence


 

  • Le mot latin sarcophagus désigne le tombeau.
  • Il est dérivé du grec σαρκοφάγος (σάρξ, sarx désignant la chair, φαγεῖν phagein, manger).
    1. Son sens est par conséquent « mangeur de corps ou de chair ».
    2. Selon d’anciennes croyances, une pierre calcaire hâte la disparition des chairs.

 

Histoire de Sarcophages


 

  • Sarcophages Egyptiens.
    1. Le sarcophage est nommé « neb ânkh » qui peut être traduit par « maître de la vie ».
    2. La forme symbolise initiale du sarcophage égyptien est une barque qui transporte le corps.
    3. Le sarcophage concerne des personnes de très haut rang social.
    4. Les formes sont variées : rectangle avec couvercle plat, voûté, imitant – plus ou moins précisément- la forme du corps.
    5. Le sarcophage constitue la protection externe de la momie. Plusieurs sarcophages peuvent être « emboités » comme les poupées russes.
    6. Sont utilisés les pierres (albâtre, basalte, calcaire, granit, quartzite…), des métaux (argent, or pour les souverains..) ou le bois. Des pierres semi-précieuses sont parfois ajoutées en décoration. Des peintures ou des sculptures peuvent évoquer le défunt.
  • Sarcophages Grecs.
    1. Les sarcophages grecs ou d’Asie Mineure sont généralement sculptés sur les 4 faces afin d’être placés au milieu d’un petit temple.
    2. Sarcophages minoens. ex. Aghia Triada, sont richement décorés et percés de trous dans leurs fonds, sans doute pour permettre aux liquides de s’évacuer.
    3. Sarcophages de Clazomènes.
      1. Cuves en terre cuite, peintes.
      2. Forme anthropoïde des sarcophages orientaux.
    4. Sarcophage de Payava.
      1. Influences perses.
      2. Décoration avec des représentations symboliques de la victoire.
      3. Très grand sarcophage de la période lycienne classique.
  • Sarcophages Etrusques.
    1. Les sarcophages étrusques peuvent prendre une forme monumentale et artistique très élevée allant jusqu’à la représentation statuaire du corps du défunt portant des bijoux et des vêtements luxueux et allongés sur le flanc.
  • Sarcophages Romains.
    1. La production s’étend, pour l’essentiel, entre le 2s av. J.-C. et le 3e s. ap J.-C. Après, les sarcophages paléochrétiens deviennent la norme.
    2. 2e s. Véritable essor des sarcophages romains suite à l’abandon progressif de l’incinération.
    3. Destinés aux familles les plus fortunées.
    4. Cuves rectangulaires.
    5. Fabriqués en pierre, en plâtre ou en plomb. On en trouve aussi en péperin (pierre volcanique sombre), en tuf, en porphyre rouge
    6. Les décors et les scènes sculptés sont des « histoires ».
    7. Généralement, le sarcophage romain est décoré sur trois côtés, le côté sans ornement étant adossé au mur.
    8. Les sarcophages sont disposés à l’extérieur du périmètre sacré de la cité, le pomérium. Le plus souvent, ils sont le long des grandes voies de circulation : Via Appia, Via Ostiense, Via  Trionfale.
  • Sarcophages paléochrétiens.
    1. Dans la droite ligne des sarcophages romains.
    2. Ils se distinguent par la nature des récits illustrés.
    3. Les Chrétiens croient en la résurrection des corps. Ils refusent l’incinération très largement pratiquée par les Romains et ils se font inhumer.
    4. Les Chrétiens doivent toutefois vivre leur foi dans une relative discrétion malgré l’édit de tolérance de Galien en 260.
    5. 3e s. Dans ce contexte, le sarcophage de Brignoles – La Gayolle est exceptionnel. Il correspond probablement à la période dite de la  « petit paix de l’église« .
    6. Les persécutions et les destructions matérielles sous Dioclétien (304 et 305) sont terribles et renforcent la discrétion.
    7. Les Gaules sont un peu protégées par la grande tolérance de Constance Chlore, père de Constantin, la présence de Constantin en Arles les années suivantes sera également un facteur favorable.
    8. 313314. Les mesures prises par Constantin permettent au Christianisme d’apparaître et même souvent d’éclore en plein jour. Les sarcophages paléo-chrétiens se multiplient alors.
    9. Les représentations bibliques se multiplient sous le règne de Constantin.
    10. Des sarcophages romains païens sont alors réutilisés avec des ajouts d’information ou des modifications de panneaux.
    11. Des sarcophages faits à Rome sont ensuite importés.
    12. Des ateliers se mettent en place d’abord à Arles, puis à Marseille.
    13. On distingue plusieurs types de sarcophages chrétiens.
      1. A frise.
      2. A colonnes.
      3. A Strigiles. Cannelures parallèles en formes de « S ».
      4. Le clipeus avec le portrait du défunt ou un épigramme se développe.
    14. La thématique des sarcophages paléochrétiens évolue.
      1. Images abstraites et bucoliques.  Le thème d’Orphée évolue vers celui du Bon Pasteur et du Christ conducteur d’hommes.
      2. La narration commence avec des thèmes tels que Jonas.
      3. Les thèmes du Nouveau Testament se multiplient ensuite. : Nativité, Multiplication des pains…
      4. Les personnages de Pierre et Paul sont plus fréquents.
  • Sarcophages médiévaux.
    1. 5e s. – 8e s. Le francisque bëra (civière) est à l’origine du mot bière.
    2. La représentation d’un gisant sur le couvercle de la cuve se développe pour les personnages les plus prestigieux.
    3. Le cercueil en bois s’impose ensuite.

 

Histoires racontées par les Sarcophages


 

Histoires sur Dieu et la Religion

  • Les Dieux grecs et romains, la mythologie
    1. Le mythe de Prométhée.
    2. Les Centaures.
    3. Léda.
  • Le Christ.
    1. La Nativité.
    2. Christ enseignant.
    3. Scènes pastorales représentant berger et brebis. 5e s.
  • Les Saints.
  • Les 1ers Chrétiens, le culte, la théolologie

    1. Délivre mon âme comme tu as délivré Jonas du monstre marin; les jeunes Hébreux de la fournaise; Daniel de la fosse au lions; Suzanne des mains des vieillards.

 

Histoire sur la Mort

  • Le passage de l’incinération à l’ensevelissement.
  • La place des morts dans la cité : les emplacements des nécropoles.

 

Histoire sur les Vivants

  • Identités des commanditaires
    1. Noms, prénoms.
      1. Licinia Magna, surnommée Matrona dont le sarcophage est commandé par ses trois frères et sœurs et par son mari, centurion dans la IIIe légion d’Auguste.
      2. Attia Esyche. « Femme très irréprochable. Encolpius et Antonilla ses héritiers à leur patronne ».
      3. Junius Messianus.
      4. Cornélia Jacaena.
      5. Marcia Romana Celsa. 328. Epouse d’un consul.
      6. Hydria Tertullia et sa fille.
      7. Géminus. v. 400. Administrateur du Trésor des provinces méridionales de la Gaule.
      8. Eugenia. Praeclari sanginis ortu.Inscription marseillaise.
      9. Vitalis. Son sarcophage en pierre locale pourrait signifier une position moins élitiste.
    2. Fonctions.
      1. Flavius Memorius. Haut fonctionnaire chrétien, ancien comte de Mauritanie Tingitane (partie nord du Maroc actuel), mort à 75 ans.
      2. Aeonius, l’évêque d’Arles  mort en 502.
      3. Concordius. Evêque. Probablement celui qui est présent au concile de Valence en 374.
      4. Saint Hilaire. Evêque d’Arles.
      5. Auxanius. Evêque successeur de saint Césaire.
      6. Florentinus. 1er Abbé du monastère arlésien des Saints-Apôtres (Sainte-Croix)..
      7. Tolosanus. Britannus natione, proconsolis dolor. Il possède en Camargue de de grands domaines pour l’élevage des chevaux.
    3. Réalisations.
  • Activité.
    1. Métiers. Religion.

      1. Saint Hilaire d’Arles, prêtre de la Loi divine.
    2. Loisirs.
      1. La passion de la musique. Julia Tyrrania, jeune femme dont la musique était le principal amusement. Des instruments de musique nous renseignent sur la passion de la jeune femme mais aussi sur les instruments de l’époque :  syrinx ou flûte de pan, lyre, mandoline ou sistre.
      2. Scènes de chasse.
  • Relations.
    1. Couples.
    2. Enfants.

 

Lieux de découverte, d’exposition et de conservation des sarcophages en Provence


 

  • La Provence est par la quantité et la qualité de ses collections, un haut-lieu des sarcophages romains et paléochrétiens dans le Monde (probablement le second après Rome).
    1. 1954. Fernand Benoit analyse pour le CNRS 122 monuments, sarcophages, fragments de sarcophages, couvercles ou fragments de couvercles trouvés à Marseille et Arles.
      1. Il date à 310 le début de l’importation de sarcophages italiens à Arles qui aurait duré environ 50 ans.
      2. Fin du 4e s. sous Théodose. Des ateliers arlésiens auraient alors ouvert jusqu’au règne d’Honorius (393423). Ils imitent les productions italiennes et fabriquent des répliques à partir de marbre des Pyrénées (Saint-Béat, Saint-Pons).
      3. v. 410. Dans la mouvance de l’abbaye de Saint-Victor de Marseille, une production aurait débuté à Marseille.
  • Plusieurs facteurs expliquent la richesse des collections provençales.
    1. L’importance de la Provence Romaine.
    2. La précocité et l’importance de la Provence Chrétienne.
    3. La place donnée à Arles par l’empereur Constantin.
    4. Le rôle décisif de Constantin dans la naissance du Christianisme en 313314.
    5. La qualité de la recherche historique, de l’archéologie et de la muséologie en Provence.

 

Répartition par villes et villages

  • Les sites funéraires antiques romains et chrétiens sont nombreux en Provence (cimetières, tombeaux à tuiles, stèles funéraires, mausolées, urnes…). Sont identifiés ici les seuls sarcophages.
  • Antibes (06)
    1. Sarcophages mis à jour.
  • Arles (13)
    1. Les sarcophages sont essentiellement issus des quartiers des Alyscamps et de Trinquetaille, les grandes nécropoles arlésiennes.
    2. Arles possède une exceptionnelle collection de sarcophages romains.
    3. Le Musée de l’Arles Antique possède la seconde collection de sarcophages paléo-chrétiens après celle du Vatican, à Rome.
    4. Le site des Alyscamps conserve des sarcophages.
  • Avignon (84)
  • Beaumes-de-Venise (84)
    1. Sarcophages à la chapelle Saint-Hilaire.
  • Bollène (84)
    1. Sarcophages à Saint-Pierre de Sénos.

 

Sacrophage_Brignoles_Verlin

Musée du Pays Brignolais © Verlinden.

 

  • Brignoles (83)

    1. Le Musée du Pays Brignolais expose  un remarquable sarcophage venant de La Gayolle.
      1. Daté du début du 3e s., il serait le plus ancien des Gaules et l’un des plus ancien du monde chrétien.
      2. Le destinataire initial de ce sarcophage n’est pas connu.
      3. Au 6e s. Le sarcophage est réutilisé pour Syagria comme  l’indique l’inscription rajoutée sur le bandeau supérieur : « Ici repose dans la paix Syagria, de bonne mémoire, qui mourut le 12 des calendes de février…, la onzième de l’indiction. » (1ère moitié du 6e s.).
      4.  En fond, le sarcophage représente la nature avec des arbres et des oiseaux.
      5. Représentation païenne du Soleil et un pêcheur à la ligne sortant un poisson de l’eau, représentation probable de saint Pierre à qui le Christ a annoncé qu’il serait « pêcheur d’hommes ». Celui qui devient Chrétien, le poisson es régénéré par l’eau du baptême. Le poisson est aussi l’évocation du mot  Ichtus signifiant  « poisson » en grec qui devient Jésus, (CH) Christ, (TU) Fils du Dieu, (S) Sauveur. L’ancre qui évoque également le baptême (du verbe grec ancien Βαπτίζειν baptizein, fréquentatif du verbe Βάπτειν baptein, « plonger dans un liquide ») marque notre attachement au Christ quoi qu’il arrive. Saint Paul, parle de  » l’ancre de notre âme, sûre autant que solide».
      6. La verge et le jas de l’ancre forment une croix, symbole chrétien par excellence et symbole développé par Constantin à partir du Chrisme. En Provence, la croix de Camargue représente une ancre à laquelle est rajouté un cœur.
      7. L’orante évoque directement la prière, mais aussi la montée de l’âme vers Dieu.
      8. Le panneau central est  mutilé. Il laisse voir un personnage adulte, assis, qui enseigne un enfant, image profane du philosophe et image chrétienne du Christ annonçant la Bonne Nouvelle.
      9. Le Bon Pasteur fait écho à l’orante. Il renvoie aux propos du Christ « Je suis le bon pasteur. Le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis. » (Jean 10, 11). Il porte sur les épaules la brebis perdue et retrouvée, alors que d’autres brebis du troupeau sont disséminées à travers le panneau. Cette image est très forte dans les premières représentations du Christ.
      10. Les avis divergent sur celui qui est souvent vu comme le dieu païen trônant majestueusement et tenant un bâton, symboles de  puissance et d’autorité. D’autres y voient le génie du lieu où se passe la scène. Certains l’attribuent à Pluton, dieu des enfers, d’autres pensent qu’il pourrait s’agir de Jupiter ou de Dieu le Père…
  • Fréjus (83)
    1. Un sarcophage en plomb découvert dans la nécropole du Pauvadou (2e s. et 3e s.).
  • La Garde (06)
    1. Sarcophage restauré.
  • Lambesc (13)
    1. Sarcophage au lieu-dit Le Janet.

 

Sarcophage-2.-P.-Verlinden

Abbaye Saint-Victor de Marseille. 3e s4e s. Couvercle de sarcophage à acrotères © Verlinden.

 

 

Principaux sarcophages du Musée de l’Arles Antique


 

2e s.

  • Sarcophage d’Hippolyte en marbre.
  • Sarcophage représentant le mythe de ProméthéeCouvercle à kliné.
  • Sarcophage aux Centaures. Réutilisé au 4e s. pour le haut fonctionnaire chrétien Flavius Memorius.
  • Sarcophage de Léda. En calcaire de Fontvieille destiné à Licinia Magna, surnommée Matrona.
  • Sarcophage d’Attia Esyché. En marbre.
  • Sarcophage de marbre blanc avec cartouche porté par des amours ailés.
  • Sarcophage de Junius Messianus. Il figure deux amours. En calcaire de Fontvieille.
  • Sarcophage de Julia Tyrrania. En pierre de Fontvieille.
  • Tombe de Cornélia Jacaena. En marbre.
  • Sarcophage de Psyché.

 

3e s.

  • Sarcophage d’enfant aux amours endormis. (à Marseille).
  • Sarcophage de Phèdre et Hippolyte.
  • Sarcophage de saint Hilaire d’Arles. En marbre. Egalement appelé sarcophage de Prométhée en référence à sa décoration.
    1. D’après les historiens il s’agit d’une sépulture païenne datée des années 240, réutilisée au Ve siècle pour saint Hilaire et installée aux Alyscamps.
    2. En 1822, la ville d’Arles en fait don à Louis XVIII.
    3. Ce sarcophage se compose de la cuve païenne décorée du mythe de Prométhée offerte au roi et aujourd’hui conservée au musée du Louvre, d’un couvercle resté à Arles et portant la mention Hilaire, prêtre de la Loi divine, repose ici et d’une grande plaque de marbre (épitaphe) qui célèbre la carrière de cet illustre évêque.
    4. Une exposition de cette sépulture recomposée a été présentée au Musée de l’Arles et de la Provence antiques au début 2007.
  • Sarcophage de Flavius Mémorius. Scènes de chasse avec  inscription chrétienne.

 

Sarcophage-4.-P.-Verlinden

Sarcophage avec scènes de chasse. Musée de l’Arles Antique. 3e s. ou 4e s.

 

  • Sarcophage dit des Dioscures ou du Mariage Romain. En marbre de Proconnèse.
    1. L’un des premiers sarcophages avec des motifs chrétiens. Fin 3e s. ou début du 4e s.

 

4e s.

  • Sarcophage du Christ enseignant ou des Adieux du Christ.
  • Sarcophage de Maria Romana Celsa daté de 328.
    1. Sarcophage ressemblant au sarcophage romain dit dogmatique.

 

Sarcophage-6.-P.-Verlinden

Sarcophage dit de l’Orante ou de l’Orant. Musée de l’Arles Antique 

 

  • Sarcophage de la chaste Suzanne. Double frise et le portrait des défunts.
  • Sarcophage de la cathédrale. Double registre et à décor de colonnes.
  • Deux sarcophages dits de la Mer Rouge.
  • Sarcophage d’Hydria Tertulla et de sa fille. Marbre de Carrare. un des premiers sarcophages avec comme seul motif, le Christ et ses disciples (seconde moitié du IVe siècle)
  • Deux sarcophages avec le Christ dans un panneau central. En marbre de Carrare.
  • Deux sarcophages dits de la Nativité. L’un en marbre de Carrare, l’autre en marbre identifié comme de Saint-Béat dans les Pyrénées.
  • Sarcophage de Concordius. En marbre. 385.
  • Sarcophage semblable à celui de Concordius.
  • Sarcophage dit aux arbres. En marbre de Proconnèse. 375.
  • Sarcophage dit de l’Anastasie.
    1. Réputé avoir été celui de l’empereur Constantin II (317-340) réemployé pour l’évêque d’Arles Aeonius mort en 502.

 

5e s.

  • Sarcophage de Géminus. 410.
  • Couvercles avec des scènes pastorales représentant berger et brebis.

 

 

Sarcophage-5.-P.-Verlinden

Sarcophage de la remise de la loi à Pierre. Musée de l’Arles Antique 

Sarcophage.-3.-P.-Verlinden

Musée de l’Arles Antique

 

Principaux sarcophages Abbaye Saint-Victor


 

  • Sarcophage dit « des Compagnes de Sainte-Ursule ».
  • Couvercle de sarcophage à Acrotères. 3e s. – 4e s.
  • Sarcophage de Julia Quintina.
  • Sarcophage dit « de Saint-Maurice ».
  • Sarcophage dit « des compagnons de Saint-Maurice ».
  • Sarcophage dit de quatre du nombre des sept dormants.
  • Sarcophage d’enfant dit « d’un des Saints-Innocents ». 2e s.
  • Sarcophage dit « de Sainte Eusébie ».
  • Sarcophage dit « de Saint Mauront ».
  • Sarcophage allégorique. 5e s.
  • Sarcophage du Christ en Gloire. 5e s.
  • Sarcophage de l’Anastasis. Fin 4e s.
  • Sarcophage dit « de saint Cassien ».
  • Sarcophage dit « des saints Hermès et Adrien ». 6e s.
  • Sarcophage dit « des saints Chrysante et Darie« .
    1. Scène de résurrection.
  • Dalle funéraire de l’Abbé Isarn.

 

Sources d’informations sur les sarcophages


 

  • Ferdinand Benoit.
  • P. Borracino.
  • G. Bovini.
  • Jean-Pierre Caillet.
  • G. Drocourt-Dubreuil.
  • P.-A. Février.
  • Th. Klauser.
  • M. Lawrence.
  • E. le Blant.
  • D. Stutzinger.
  • Eric Teyssier.
  • J. Wilpert.

 

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