La Colline du Château © Verlinden
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Nice : La Colline du Château histoire et visite
Situation et accès à la Colline du Château
Balades dans le Vieux-Nice © Fotolia.com – Port Lympia © Daniel Davire – Pixabay.com
- Dans la partie Est du quartier du Vieux Nice / Vieille Ville.
- A l’Ouest et en surplomb du Port Lympia.
- A environ 3 km de la cité antique romaine de Cemenelum/Cimiez.
- Cliquer sur le lien-texte N 43.695579 E 7.280969 pour afficher la carte Google de la Colline du Château.
- Accès en voiture limité. Rue Ségurane – Montée Eberlé et Allée François Aragon ou Montée Montfort vers le cimetière.
Nice Montée du Château © Verlinden
- Accès à pied.
- Côté ouest (recommandé). Quai des Etats-Unis.
- Depuis l’Hôtel Suisse. Par l’escalier ou par l’ascenseur, en principe gratuit.
- Par la Montée du Château, dans le prolongement de la Rue du Château depuis le Vieux Nice.
- Côté Est.
- Par la Montée Montfort et un escalier ou par la Montée Montfort et l‘Allée François Aragon ou la Montée Eberlé vers le cimetière
- Côté Nord.
- Par la Montée Eberlé vers le cimetière. Parking sur la montée.
- Côté ouest (recommandé). Quai des Etats-Unis.
Cascade alimentée par la Vésubie © Verlinden
- A voir sur le site de la colline
- Ancien Château. Emplacement.
- Cascade du Château.
- Chapelle.
- Chemins et allées qui sillonnent le site.
- Cimetière du Château – Chapelle du Cimetière – Cimetière juif.
- Jardin d’Enfant.
- Mémorial aux victimes niçoises du terrorisme.
- Point de vue à partir du belvédère qui surplombe la Cascade.
- Sites de Fouilles archéologiques.
- Restauration. Snack La Citadelle et le Point de Vue.
- Toilette ( à l’est des fouilles).
- Tour Bellanda.
Belvédère surplombant la cascade © Verlinden
Histoire de la Colline du Château, à Nice
Nice Antique © Jean-Paul Bruno – Flickr.com – Verlinden
Période Antique
- Fondation du comptoir grec de Nikaïa.
- 5e s. Au même emplacement que la cathédrale médiévale se trouvait une église paléochrétienne quia été détruite afin de construire la cathédrale médiévale.
- Ce bâtiment est la première cathédrale de Nice.
Château Nice. Source. Bibliothèque de Cessole – Colline et Château de Nice fin 17e s. Peinture de Jean-Luc Sauvaigo – Archives Municipales de Nice.
Période Médiévale
- 11e s. 1er développement urbain.
- Présence d’un petit château / castrum et d’une cathédrale.
- 1002. 20 janvier. Des cartulaires de donations citent pour le première fois l’existence d’une muraille (muro antiquo).
- Au nord de la colline, proche du Paillon.
- Milieu 12e s. Construction d’un premier faubourg sur le plateau nord.
- Très vite, une enceinte protège le faubourg.
- 1143. Une porte, et une enceinte, donnant sur les nouveaux faubourgs de Saint-Pons (actuel Vieux-Nice), sont mentionnés au pied ouest de la colline.
- Sont alors établis les constituants majeurs du site de la ville haute :
- La Cathédrale Sainte-Marie.
- Un ensemble urbanisé.
- Un château-fort sommital (futur donjon).
- Sont alors établis les constituants majeurs du site de la ville haute :
- Début 13e s. Il est fait mention d’un castrum qui serait entouré de murailles tout comme la ville moyenne sur le plateau inférieur au nord de la colline (actuels cimetières),
- 1333. Le château fort de forme pentagonale est dénommé Palais. Le château comprend un corps de garde, une chapelle castrale, une basse-cour enserrée d’autres murs (entre le château et la cathédrale), un viguier et juge comtal, une prison et un gibet devant la tour Grosse (ou de la cloche – « campane »).
- 1388. Dédition de Nice à la Savoie.
- La Cité de Nice devient un lieu stratégique.
- Verrou d’une position terrestre.
- Vigie. Protection d’accès à la mer et petit arsenal.
- Garant de l’autorité de la Maison de Savoie.
- Elément de pression dans des relations internationales entre très grandes puissances : Royaume de France – Saint-Empire.
- La Cité de Nice devient un lieu stratégique.
- 1436. Eperon au pied ouest du château-donjon, prolongé d’une courtine conduisant en pente à une tour au sud-ouest, dite du Môle et future Tour Saint-Elme, à l’emplacement actuel de la Tour Bellanda.
- Aménagement défensif au nord de la ville haute -Edification du Château (castrum Magnum).
- La face orientale de la colline et la face maritime sud sont réputées infranchissables avec leur pente rocheuse naturelle.
- 1391. Un rempart simple y est édifié.
- Muraille rectiligne de 6 de hauteur, 2 m de largeur et 60 m de longueur.
- En avant des Tours du Jardin
- Turris Campane du château donjon.
- 4 ou 5 tours du château-donjon dont la Royale ou Grosse, carrée, en position centrale sur laquelle flotte le drapeau de Savoie.
- 1440. Dispositif complété de la Tour Roquette avec vue sur le Lympia.
- Des habitations sont achetées et rasées afin de dégager l’enceinte du plateau supérieur.
- En avant des Tours du Jardin
- La face orientale de la colline et la face maritime sud sont réputées infranchissables avec leur pente rocheuse naturelle.
- Reconstruction de la cathédrale.
© Verlinden
Entrée dans l’ère militaire moderne
- Début 16e s. Profonds changements liés à l’évolution des techniques de combat.
- Le nord de la colline supérieure est adapté à l’artillerie.
- Une citadelle moderne sur le plateau inférieur de la colline est destinée à protéger l’accès nord.
- 1506. Ouverture de canonnières dans le donjon.
- Creusement d’un puits très profond destiné à accroître l’autonomie de la place lors d’un siège.
- Le puits est pompeusement qualifié de Huitième Merveille du Monde.
- 1517 – 1520. En avant de la courtine rectiligne et de la porte du château, un front bastionné ou boulevard d’artillerie est construit afin de mieux défendre le côté nord.
- Le site est doté merlons larges et équipé de bouches à feu.
- 3 tours sont les points forts :
- 2 tours rondes Saint-Paul, à l’est, et Saint-Victor, à l’ouest, en avant du donjon.
- 1 tour semi-circulaire Saint-Charles défend la porte, au centre.
- La Ville Haute se vide totalement de ses habitants civils.
- 1542. 2 dispositifs sont envisagés.
- Le dégagement définitif de la ville moyenne, au nord, en avant du boulevard d’artillerie.
- La création d’une vaste citadelle moderne dotée de bastions.
L’alliance de la France et de la Turquie Ottomane et musulmane François 1er (Titien) et Barberousse (inconnu).
1543. Siège de Nice
- Les troupes françaises de François 1er et celles du turc Soliman le Magnifique attaquent Nice.
Fort du Mont-Alban – Cathédrale Sainte-Réparate © Verlinden
- 1560. Après le siège, le duc Emmanuel–Philibert engage un profond remaniement du système défensif.
- Le faubourg nord est remplacé par une citadelle bastionnée, semblable aux ouvrages du mont Alban et de Villefranche.
- Sur l’emplacement de l’actuel Cimetière du Château.
- Le déperchement total de l’habitat vers la ville-basse, actuel Vieux-Nice, est ainsi totalement achevé.
- Naturellement, la Cathédrale Notre-Dame-du-Château est remplacée par la construction de la Cathédrale Sainte Réparate.
- Le faubourg nord est remplacé par une citadelle bastionnée, semblable aux ouvrages du mont Alban et de Villefranche.
- 1577. Les travaux, contemporains de ceux du Fort du Mont Alban, sont engagés mais ils ne seront jamais achevés.
- Le dispositif de la Citadelle comprend :
- Au nord. 2 bastions en tenaille (Il Prencipe oriental et Il Duco occidental).
- A l’est, côté Limpia, 1 bastion (Il Vitello).
- Côté ville, 1 bastion carré encadre la Tour Saint-Victor.
- Le doublement de l’ancien éperon du château (sperone vecchio) ne sera jamais réalisé.
- La Tour Saint-Elme est renforcée et dotée, en appui, d’un fort bas.
Louis XIV en Provence © Verlinden
La ville de Nice vue par les français lors du siège de 1691. Archives départementales des Alpes-Maritimes – Wikipedia.com
1691. 1er Siège de Nice par Louis XIV
- Fin 17e s. La ville de Nice est dotée d’une enceinte aux murs bastionnés.
- 1690. Le redoutable château de Victor Amédée II de Savoie est enveloppé d’une muraille de 2300 m.
- Le château est considéré comme l’un des plus importants d’Europe.
- Beaucoup considèrent que le château est imprenable.
- La ligne de défense du Comté de Nice comprenait par ailleurs le Fort de Montalban, la Citadelle Saint-Elme de Villefranche et le Fort du Saint-Hospice, proche du Cap-Ferrat.
- 1691. Le siège de Nice par les troupes de Louis XIV commence dès la fin des travaux de protection de la cité.
- Placée sous le commandement de Catinat, l’armée royale s’empare de la cité et du château.
- Un boulet fait exploser le donjon où se trouve la poudrière provoquant des centaines de morts.
- La capitulation se fait dès le lendemain.
- 1696. Par le Traité de Turin, Nice revient à la Savoie.
- Le Duc de Savoie organise le renforcement des défenses :
- Doublement des ouvrages annexes (tenailles, demi-lunes) du rempart du 16e s. de la forteresse, sur ses flancs les plus vulnérables.
- Le Duc de Savoie organise le renforcement des défenses :
1705. Siège de Nice et destruction du château par Louis XIV
- Dans le contexte des querelles de la Succession d’Espagne, Louis XIV entre en guerre contre Victor Amédée III de Savoie.
- Nice est une place-forte et un débouché stratégique de la Savoie en Méditerranée.
- En dépit de son dispositif défensif impressionnant, les armées de Louis XIV, sous le commandement de La Fueillade, passent le Var et mettent le siège à Nice et à sa Citadelle.
- Les combats sont plus longs que lors du précédent siège de 1691.
- 1705. 5 avril. La Ville de Nice se rend mais la Citadelle résiste aux tirs de l’artillerie du Duc de Berwick.
- 1706. 2 janvier. avant la capitulation, Louis XIV donne l’ordre de détruire et d’araser à l’explosif tous les restes de constructions de la citadelle.
- 1706. 4 janvier. La citadelle capitule à son tout sous les tirs de 113 canons et mortiers pendant 54 jours de tirs.
- 1706. 12 juillet. La destruction totale du site est engagée par un entrepreneur sur un cahier des charges précisant que le travail « commencera de la première à la dernière pierre de la fortification afin que rien ne reste« …
- Pendant 6 mois, explosifs, pelles, pioches, sacs de sable détruisent et évacuent ce qui reste de la Citadelle de Nice.
- Depuis, le site a servi de carrière ce qui a éliminé les rares traces laissées.
Jardin arboré de la Colline du Château © Verlinden.
Des ruines aux jardins
- 1713. Nice et son Comté son rendus à Victor Amédée II par le Traité d’Utrecht.
- L’idée de reconstruction de fortifications est abandonnée.
- 1830. Le Roi Charles-Félix ordonne la création d’un jardin paysager arboré avec voies d’accès et cascade.
- 19e s. L’aristocratie internationale visitant Nice fait du jardin l’un de ses lieux de promenade préférés.
- Après l’annexion de Nice à la France, Napoléon III est l’un des premiers visiteurs officiels français. Il déclare « C’est le plus beau des paysages qu’il m’ait été donné de voir, c’est admirable ! ».
- 1943 – 1944. L’armée allemande d’occupation fortifie la colline : canons dans le local de l’ascenseur actuel, casernements creusés dans le roc, tunnels entre la plage et le sommet…
- 2007. Les travaux de construction pour le tramway permettent aux archéologues de mettre à jour des vestiges importants :
- Dans le secteur Garibaldi. Restes d’une tour médiévale, la Tour Pairolière, bastions arasés en 1706 qui sont conservés dans une crypte archéologique ouverte aux visites. Entrée Place Troja.
- Sur la colline, et en dépit des destructions systématiques, quelques éléments ont été mis à jour !
- Grands blocs provenant de l’ancien château.
- Base du mur nord de l’ancien donjon avec la trace d’un impact de boulet, à proximité du belvédère surplombant la cascade.
Tour Bellanda
Tour Bellanda © Verlinden
- Autrefois appelée Tour Bellevue.
- Sur le flanc de la Colline du Château.
- Place du 8 Mai.
- Ascenseur de la tour en principe gratuit – Escalier Lesage.
- Accès différent en été (8h – 20h, en principe) et en hiver (8h – 18 h en principe). Superbe panorama sur le Vieux-Nice.
- Imposant édifice de forme circulaire.
Le Cimetière du Château
- Situé sur la Colline du Château côté nord.
- Entrée sur l’Allée François Aragon.
Histoire du Cimetière
- 1783. Edit. La Colline du Château, devenue un terrain vague après la destruction de ses défenses en 1706 par les soldats de Louis XIV, est choisie pour y établir un cimetière.
- Dans un premier temps, le cimetière est quelque peu boudé par les Niçois.
- 19e s. La construction de monuments funéraires remarquables décide les Niçois à se rendre au cimetière.
Aménagement et tombes
- Depuis le cimetière, la vue panoramique est superbe à la fois côté montagne et côté mer.
- Le cimetière du Château est aménagé en terrasses.
Cimetière du Château © Phot06
- Les monuments les plus spectaculaires qui y sont nombreux occupent le dernier niveau.
- De très nombreuses notabilités politiques et sociales de la fin du 19e s. – 20 e s. ont des tombes qui sont des œuvres d’art sculptural.
- De nombreux étrangers issus du tourisme hivernal (Allemands, Américains, Anglais, Polonais, Russes…) sont enterrés ici.
- Parmi les sépultures spectaculaires
- Tombes inspirées par les sarcophages romains. Parmi les plus anciennes.
- Tombes d’influence ligure avec un réalisme minutieux.
- Pyramide face à l’entrée en hommage aux morts de l’incendie du Théâtre Municipal, en 1881.
- Ilhami Hussein Pacha. Art funéraire oriental.
- Parmi les célébrités enterrées :
- Bavastro (Joseph). Marin. Corsaire. Sampierdarena, République de Gênes, – Alger, à Alger. Passe l’essentiel de sa vie à Nice.
- Son corps est rapatrié à Nice, sa ville de cœur.
- Desor (Edouard). 13 février, Friedrichsdorf près de Francfort-sur-le-Main, 1811 – Nice, 23 février 1882. Zoologiste, géologue, préhistorien et alpiniste suisse d’origine française.
- Monument funéraire constitué d’un monolithe de granite jaune importé du Jura Suisse.
- Gambetta (Léon). 1838 – 1882. Homme Politique. Président du Conseil en 1881.
- Mort le 31 décembre 1882 d’une septicémie doublée d’une inflammation du péritoine consécutive à une blessure à la main en manipulant une arme.
- Une partie de son corps est inhumée selon ses vœux auprès de sa mère.
- La partie du corps est embaumée et enterrée.
- Le cerveau, l’appendice, une partie du bras et de la main ont été dépecés par la Faculté de Médecine pour autopsie.
- 1920. 11 novembre. Son cœur est placé dans une urne et transféré au Panthéon.
- Garibaldi. Famille.
- Leroux (Gaston). Paris, – Nice, . Ecrivain surtout connu pour ses romans policiers empreints de fantastique.
- 1908. Son roman Le Mystère de la Chambre Jaune a inspiré les Surréalistes. Son personnage de Rouletabille jouit d’une grande notoriété.
- Parmi ses œuvres : Le Fantôme de l’Opéra en 1910, La Poupée sanglante en 1923 et la série des Chéri-Bibi à partir de 1913.
- Plusieurs films et téléfilms ont été tournés à partir de ses romans.
- Sandberg (Serge). Kaunas (Lituanie), 27 novembre 1879 – Nice, 5 janvier 1981. Exploitant de salles de cinéma, producteur et distributeur français.
- Bavastro (Joseph). Marin. Corsaire. Sampierdarena, République de Gênes, – Alger, à Alger. Passe l’essentiel de sa vie à Nice.
Chapelle Ste-Trinité © Verlinden
Chapelle de la Sainte-Trinité
- A droite de l’entrée.
- Datée de 1935. Architecte François Aragon qui signe également les belles fresques de l’intérieur.
- Belle chapelle soignée aux accents baroques à l’extérieur et à l’intérieur.
- Elégant clocher terminé par une coupole couverte de tuiles vernissées multicolores.
- Belle couleur ocre de la construction.
- Nef soignée.
- Abrite les caveaux des chanoines de la Cathédrale de Nice.
- Messe régulièrement célébrée.
- Bénédiction des tombes le 1er novembre.
Cimetière Juif
- Jouxte le cimetière chrétien.
- 2007. L’Allée longeant le cimetière au sud est renommée Allée des Justes.
- 2014. Un Mur d’Honneur est érigé en l’honneur des hommes et femmes qui ont caché des Juifs traqués par les occupants lors de la Seconde Guerre Mondiale.
- A l’entrée, un Cénotaphe en souvenir des Juifs victimes de la Shoah arrêtes à Nice.
- Parmi les célébrités enterrées
- Goscinny (René). Père – scénariste d’Astérix et rédacteur en chef de Pilote.
- Lattès. Famille.
La Colline du Château insolite
Le Coup de canon de Midi
- Tous les jours, sauf le 14 juillet en mémoire des 86 victimes de l’attentat de Nice, un coup de canon est tiré à midi depuis la Colline du Château.
- En réalité, il s’agit d’un marron d’air pyrotechnique.
- La poudre noire propulse la bombe à 60 m de haut.
- Arrivée au sommet, la bombe explose sans faire de couleur.
- Le coup est puissant et s’entend de loin.
- La tradition remonte à un Soldat Ecossais.
- 1862. L’Ecossais Sir Thomas Coventry mange chez lui avec ses officiers.
- Comme sa femme est souvent en retard, il utilise ce coup de canon comme signal pour qu’elle lui faire à manger.
- Une fois rentré chez lui dans son château d’Edimbourg, Coventry laisse une somme d’argent à la mairie de Nice pour que ce rituel perdure.
- Par la suite, Malausséna fait voter un arrêté municipal pour que cette tradition perdure.
- Une fois par an, le coup de canon a une heure d’avance : chaque 1er avril, le coup est donné à 11 heures.
- 1862. L’Ecossais Sir Thomas Coventry mange chez lui avec ses officiers.
- En réalité, il s’agit d’un marron d’air pyrotechnique.
Loisirs sur la Colline du Château
- La Colline du Château a plusieurs dimensions :
- Historique.
- Romantique.
- Promenade.
- Le site n’est pas seulement visité par les touristes.
- La Colline du Château est un lieu de sortie et de promenade pour les Niçois.
- Superbes promenades dans les allées.
- Jardin d’enfants.
- 2 points de restauration.
- Terrain de Sports La Semeuse.
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