Riez Les colonnes romaines © Verlinden.
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Riez à visiter (04)
- Cité romaine au 1er siècle, Riez (ou Riez-la-Romaine) a une histoire longue et dense dont elle a su garder des vestiges forts.
- Code postal. 04500.
- Habitants. Riézois ou Réiens
- Superficie. 40 km2.
- Altitude. 473 m – 680 m.
- Population. 1 825 habitants (2014).
- Coordonnées et Carte. N 43° 81′ 71″ E 6° 09′ 52″. Cliquer sur le lien texte pour afficher la carte de la commune de Riez.
- Communauté. DLVA. Durance Luberon Verdon Agglomération.
Territoire de Haute-Provence géré par la DLVA © Fotolia.com – Pixabay.com – Verlinden.
Situation de Riez (04)
Panorama depuis le butte Sainte-Maxime © Verlinden.
- Alpes-de-Haute-Provence (04)
- Le village de Riez est situé au pied de la colline Sainte-Maxime, site classé aux Monuments Historiques à plusieurs titres :
- La chapelle est Classée Monument Historique.
- Le cyprès du cimetière est classé « arbre remarquable ».
- La butte formée par la colline Saint-Maxime domine trois vallées qui se rejoignent au confluent de deux cours d’eau : le Colostre et son affluent l’Auvestre.
- Les cours d’eau ont formé la butte par érosion sur ses flancs.
- Riez est positionnée au croisement des routes historiques.
- Route vers les Alpes, par Digne.
- Route vers la vallée de la Durance, par Valensole.
- Au Sud, routes reliées au Haut Var (83) et à Aix-en-Provence (13).
Communes limitrophes de Riez
- Allemagne-en-Provence (04)
- Montagnac-Montpezat (04)
- Roumoules (04)
- Puimoisson (04)
- Valensole (04)
Accès à Riez
- RD 6. Depuis Valensole.
- RD 11. Vers Sainte-Croix-de-Verdon.
- RD 952. Entre Allemagne-en-Provence et Roumoules.
- RD 953. Vers Puimoisson.
Distances depuis Riez
- Aix-en-Provence. 74,8 km.
- Avignon. 132 km.
- Lyon. 348 km.
- Marseille. 105 km.
- Nice. 146 km.
- Paris. 810 km.
- Toulon. 115 km.
La Nature à Riez
2 rivières
- Le Colostre.
- Prend sa source au col de Saint-Jurs.
- Affluent du Verdon qu’il rejoint à Gréoux-les-Bains.
- L’Auvestre.
- Affluent du Colostre.
- La confluence est légèrement en aval du village.
Arbres importants
Activités de production
Histoire de Riez
Antiquité
- Antiquité pré-romaine. Riez serait l’ancienne capitale de la tribu des Reii (Reiens-Apollinares, Reinsi) dont la butte Saint-Maxime constitue un oppidum.
- La tribu celto-ligure des Reii appartient à la confédération des Salyens proche des Voconces et non aux Albices, comme on l’a longtemps pensé.
- Leur chef-lieu est Alebaece-Reiorum-Apollinarium (oppidum mentionné au 1er s. ap. J.-C.).
- Les Romains fondent la Colonie Julia Augusta Reiorum Apollinarium dans la plaine sous la butte Saint-Maxime. Plusieurs éléments contribuent à cette création :
- Le croisement d’axes de communication dont les Romains feront des voies plus rationnelles.
- Une plaine alluviale à 520 m d’altitude.
- La possibilité d’y établir un important établissement thermal.
- Riez devient l’une des treize cités de droit latin de la Narbonnaise.
- La cité est dirigée par des quattuorvirs.
- An 3. Une voie reliant Riez à Aix-en-Provence est construite. Elle traverse le Verdon à Garruby.
- Une voie figurée sur la Table de Peutinger relie Riez à Fréjus.
- Une troisième voie part en direction de Digne.
- 2e s. Christianisation probable.
- 4e s. Reis Apollinaris est cité.
- 434. Riez devient un évêché.
- Le premier évêque est Maxime, ancien abbé de Lérins dont la mort se situe vers 460 et qui est très tôt vénéré comme saint.
- Maxime de Riez est vraisemblablement le 1er évêque a utiliser le baptistère.
- 439. Novembre. Riez accueille un concile (Concilium Regense) au cours duquel Armentarius, évêque d’Embrun, est déposé.
- 442. Regensium Episcopus est cité.
Du Moyen-Âge à la Révolution française
- Le passé romain et chrétien de Riez et sa situation géographique de carrefour lui permettent de rester importante au Moyen-Âge.
- Riez reste une capitale régionale pendant tout le Moyen-Âge.
- Pendant toute la durée du Moyen-Âge , les évêques sont les seigneurs de Riez.
- 6e s – 7e s. Face aux dangers grandissants, l’agglomération de la plaine est abandonnée. Le village revient sur les hauteurs de l’ancien oppidum Saint-Maxime où l’évêché est établi.
- In pago Regense est cité.
- Le siège épiscopal de Notre-Dame-de-la-Sède est abandonné pour l’église sainte-Maxime.
- Le culte est pratiqué dans les deux églises jusqu’au 15e s.
- 10e s. Les cadets des vicomtes de Marseille s’emparent de Riez.
- 990. Civitati Regensi est cité.
- Une motte castrale protégée par un fossé de 10 m de large est établie au lieu-dit Mauroue.
- v. 1000 – 1350. La plaine est de nouveau habitée. Riez se divise en deux parties.
- 1097. A de Reges est cité.
- La ville haute est assimilée au château.
- La ville basse s’étend avec les bourgs Bourg Neuf, Saint-Sols et Saint-Marc.
- Deux ponts favorisent les échanges : le pont Notre-Dame et le pont du Reclus.
- Riez est un prospère marché de redistribution à vocation régionale.
- Les ordres mendiants s’installent à Riez.
- Couvent des Cordeliers, hors-les-murs.
- Couvent des Capucins, hors les murs.
- Couvent des Ursulines, à l’intérieur de la cité.
- 1232. L’église de Riez est jumelée avec celle de Vernon (en Normandie).
- Toutes deux vouent un culte à saint Maxime.
- On appelle cet accord une « société ».
- 1285. Riez accueille son second concile.
- 1334. Toussaint. Le tournoi de Riez se termine tragiquement.
- Guillaume Maurini, clavaire de Digne (1317-1324) qui est originaire de Riez, doit faire transporter le corps de son ami, Annibal de Moustiers, dans sa maison après une blessure mortelle.
- 1358. Elzéar d’Oraison, citoyen de Digne et seigneur d’Oraison, participe à la lutte contre les troupes de l’Archiprêtre.
- La Grande Peste fait des ravages.
- 1361. Décembre. La troupe espagnole de Tristamine ravage la Provence et met à sac Riez.
- Raybaud de Châteauneuf, gouverneur du château épiscopal, réussit à résister dans sa forteresse.
- Les Espagnols détruisent les habitations de la ville haute et de la ville basse.
- 1362. 28 janvier. Le siège du château est levé après la signature d’un traité à Draguignan.
- 1381 – 1384. Reconstruction de l’enceinte de Riez sur un périmètre réduit.
- Le mur d’enceinte ne compte plus que deux portes, au lieu des cinq de la précédente muraille.
- 15e s. Renforcement des défenses de Riez.
- 15e s. La cathédrale antique est partiellement détruite.
- 1442 – 1471. 20 familles viennent d’Entrevaux pour s’installer à Riez.
- 1520. Après la destruction complète de la cathédrale antique de Notre-Dame de la Sède, la cathédrale Sainte-Maxime reste seule.
- Afin de faire face aux Guerres de Religion, Riez se dote de puissants moyens de défense.
- La Valette, duc d’Epernon rajoute des bastions, équipe la place d’une artillerie et y installe une garnison corse.
- 1574. Les moyens humains et matériels mis pour défendre Riez ne réussissent pas à l’empêcher d’être prise par les protestants.
- 1575. Les Huguenots quittent la place qu’ils laissent dans un triste état :
- Le chœur de la cathédrale a été incendié.
- La voûte de la cathédrale s’est effondrée.
- Le clocher de la cathédrale est détruit.
- Des livres anciens sont brûlés.
- Le couvent des Cordeliers a été incendié.
- 1596. la population détruit le château et la cathédrale Saint-Maxime.
- 1632. renouvellement du jumelage des églises de Riez et de Vernon (Normandie).
- 1717 – 1718. L’évêque Louis-Balthazar Phélipeaux d’Herbaut rénove et agrandit un bâtiment du centre-ville pour en faire un hôpital, l’Hôtel Dieu.
- La Foire de Riez se maintient jusqu’à la fin de l’Ancien Régime.
- Un bureau de Poste est établi à la fin de l’Ancien Régime.
- Avant la Révolution, Riez est une des rares cités à accueillir une loge maçonnique.
- La loge est nommée Saint-Jean des Harmoniphiles (« des amis de l’harmonie »).
- La loge est affiliée celle de Saint-Jean d’Écosse de Marseille.
- 1788. Mauvaises récoltes.
- 1788 – 1789. Elections des Etats de Provence qui renforcent les oppositions et provoquent des insurrections locales (mars).
- 1788 – 1789. Hiver très froid.
- 1789. 27 et 28 mars. Soulèvements à Riez.
- Emeute frumentaire.
- Prise à partie de François de Clugny, évêque de Riez.
- Les effectifs des forces de l’ordre sont renforcés, des poursuites judiciaires sont initiées sans que les condamnations ne soient exécutées.
- Août. Amnistie.
- La Révolution supprime le diocèse de Riez.
- 1799. Des bandes de brigands ravagent les Basses-Alpes.
- Le 15 octobre, les brigands torturent et assassinent 11 personnes.
- L’évènement est connu comme la « Tuerie de Riez ».
Epoque contemporaine
- 1851. 2 décembre. Le Coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque une vive réaction autour de Riez.
- Parmi les insurgés, 41 habitants de Riez sont jugés, la majorité est condamnée à la déportation en Algérie.
- 1863. Riez possède une école primaire pour les garçons.
- 1944. 18 août. Trois jours après le débarquement en Provence, la colonne du général Butler libère Riez.
- Dans la journée, la progression des blindés alliés a été de 70 km sans accrochage.
- Le 19 août. Deux colonnes quittent Riez. L’une vers Valensole et la Durance, l’autre vers Digne.
- Milieu 20e s. Abandon de la culture de la vigne qui avait longtemps fait la réputation de Riez.
Places et rues de Riez
- La vieille ville de Riez possède une très intéressante architecture typique de la Haute-Provence :
- Des rues étroites.
- Des façades colorées de maisons de maîtres ou hôtels (médiéval et Renaissance).
- Hôtel Mazan.
- Il devient le Musée Lapidaire en reprenant une partie des collections stockées dans le baptistère.
- Renaissance et 17e s.
- Hôtel Ferrier.
- Fin 15e s. Le plus ancien.
- Construit par l’évêque de Riez Marc Lascaris de Tende.
- 2006. Travaux de consolidation.
- 2012. Effondrement.
- Hôtel Mazan.
- Plusieurs maisons abritent encore des gypseries des 16e s et 17e s.
- Place des Ormeaux.
- Place du Quinconce.
- Place du Centenaire.
- Place de la Colonne.
- Fontaine de La Colonne. Classée Monuments Historiques 1921.
- Beau panorama depuis la chapelle Sainte-Maxime.
Monuments et bâtiments remarquables de Riez
Colonnes Romaines en situation © Verlinden.
- Colonnade antique.
- Le monument se situe dans un pré entre le Colostre et l’Auvestre.
- Quatre colonnes romaines monolithiques de granit gris, d’environ 5,90 m de haut.
- Les colonnes sont surmontées de chapiteaux corinthiens en marbre blanc et supportent encore une architrave.
- Ce monument représente les vestiges d’un temple romain du 1er s. qui pourrait être dédié à Apollon.
- 1840. Les Colonnes de Riez sont classées Monuments Historiques.
- Thermes romains.
- 1842. Découverte.
- 1970. Fouilles.
- Clocher de l’Horloge
- Vestige des remparts.
- 16e s. Probable mise en place.
- Portes de la ville
- Porte Aiguière.
- Porte Saint-Sols (ou Sanson).
- Cadran Solaire.
- Sur la place Saint-Antoine.
- 1806. Création.
- Forme carrée. Sobre. Lignes noires sur fond blanc.
- Inscription « L’instant le plus serein est marqué par une ombre ».
Riez. Fontaine Benoîte. Porte Sanson © Verlinden.
- Fontaine Benoîte et son lavoir.
- 15e s. Une fontaine occupe déjà l’emplacement.
- 1879. Date de la fontaine actuelle. Le village compte alors environ 3000 habitants.
- Situation de la Fontaine : face à la Porte Sanson.
- Son emplacement la destine aussi bien aux habitants qu’aux voyageurs de passage.
- Quelques années après la fontaine, le lavoir est construit afin d’éviter de descendre jusqu’au Colostre pour laver le linge.
© Verlinden.
Monuments chrétiens de Riez
Baptistère du 5e s. magnifiquement restauré © Verlinden.
- Baptistère de Riez.
- L’un des plus anciens baptistères de France et l’un des mieux conservés.
- 5e s. Date probable de la construction. Il fait partie du premier groupe cathédral détruit
- Le baptistère est bâti avec des matériaux romains en remploi.
- Le bâtiment a un plan carré.
- L’intérieur a un plan octogonal. Le chiffre 8 est fortement associé au sacrement du baptême comme symbole de nouvelle naissance.
- Quatre absidioles, dont l’une dédiée à l’autel s’enfoncent dans les murs sans faire saillie à l’extérieur.
- Huit colonnes antiques de granit importées d’Asie Mineure (Turquie actuelle) sont surmontées de chapiteaux corinthiens en marbre.
- Elles sont disposées en cercle autour de la cuve baptismale.
- 12e s. Reconstruction de la coupole.
- 1840. Monument historique.
- 1929. Le baptistère devient le musée lapidaire avant de devenir un dépôt lapidaire.
- 20e s. Remarquable restauration du baptistère qui a permis de mieux comprendre le rite du baptême.
- Entrée et sortie, place de l’évêque, absence de fenêtre…
Ancienne cathédrale © Verlinden.
- Cathédrale primitive Notre-Dame-de-la-Sède.
- 5e s. Date probable de la construction de la 1ère cathédrale, en fonction du 1er évêque (Maxime) et du baptistère.
- 15e s. – 16e s. Destruction de la cathédrale.
- Vestiges face à l’entrée du baptistère.
- Une restauration prochaine est prévue.
Chapelle Sainte-Maxime © Verlinden.
- Chapelle Sainte-Maxime et son ermitage sur les bases de la deuxième cathédrale.
- Située sur la colline Sainte-Maxime qui domine la ville basse. Classée.
- 12e s. Bases romanes. Le site est occupé par le deuxième cathédrale de Riez.
- 1575. La deuxième cathédrale de Riez est sérieusement dégradée par les protestants.
- 1596. La deuxième cathédrale est détruite par la population.
- 1665. Achèvement de la construction de la chapelle sur l’emplacement de la deuxième cathédrale.
- Déambulatoire reposant sur 6 colonnes corinthiennes antiques.
- Une communauté de Sœurs Clarisses est installée sur le site.
- Notre-Dame-du-Siège-et-Sainte-Maxime sur les ruines de la troisième cathédrale.
- 1490 – 1524. Construction de la troisième cathédrale de Riez, après démolition de la cathédrale primitive.
- Elle est placée sous le patronage de saint Maxime de Riez et de sainte Thècle.
- La cathédrale est édifiée contre les remparts.
- 1574. Travaux financés par Henri III suite à des destructions par les protestants.
- Le chœur et la nef son reconstruits. Ils sont conservés dans le bâtiment actuel.
- 1594. La sacristie est achevée et correspond à la sacristie actuelle.
- 1599. Première pierre du clocher posée.
- 1605. Achèvement des travaux.
- 1649. L’évêque Louis Doni d’Attichy fait ajouter 7 chapelles.
- 1842. Effondrement de la cathédrale dont seulement quelques parties sont sauvées.
- Fin 19e s. L’église actuelle est construite sur les bases de la cathédrale.
- L’état du bâtiment est extrêmement préoccupant.
- Eglise des Capucins.
- Chevet et chapelle du 17e s.
- Ancien Palais épiscopal.
- Transformé en local municipal.
- 15e s. Construction.
- 17e s. Modifications.
- Ancien Couvent des Capucins.
- Transformé en atelier de faïences.
- Possède une chapelle qui ne se visite pas.
- Ancien Couvent des Cordeliers.
- Devenu le siège de la trésorerie.
Artisanat à Riez
Célébrités liées à Riez
- Abeille. Gaspard.
- Riez, 1648 – Paris, 1718.
- Frère de Scipion.
- Homme d’Église, poète et auteur dramatique français.
- 1704. Académicien.
- Abeille. Scipion
- Frère de Gaspard.
- Chirurgien militaire.
- 1696. Auteur du livre « Le parfait chirurgien d’armée ».
- Bérenger. Laurent-Pierre
- Riez, 1749 – Lyon, 1822.
- Homme de lettres.
- Bouret. Henri-Gaspard-Charles.
- Riez, 1752 – 1805.
- Député à la Convention et aux Cinq-Cents.
- Chais. Auguste
- Riez, 1793 – 1870.
- 1848. Député à l’Assemblée Constituante.
- Fauste de Riez
- v 400 – 410 – v. 493),
- Faustus Regiensis ou Reiensis.
- Abbé de Lérins, puis évêque de Riez.
- Saint chrétien fêté le 28 septembre
- Féraud. Jean-Joseph-Maxime
- 1810–1897.
- Historien.
- Foucou. Jean-Joseph.
- Riez, 1739 – Paris, 1821.
- Sculpteur.
- Maxime de Riez.
- Naissance à Chateauredon, près de Digne.
- Moine de Lérins.
- Erudit. Humaniste.
- Succède à saint Honorat lorsqu’il devient évêque d’Arles.
- Lérins est alors un phare du Christianisme en Occident.
- 434. Maxime accepte l’évêché de Riez après avoir refusé celui de Fréjus.
- Maxime entretient une correspondance suivie avec les papes.
- Maxime fonde des monastères et contribue au rayonnement de l’Eglise de Provence.
- Ardent participant des grands conciles provinciaux à Orange (441), Vaison-la-Romaine (442) et Arles (451 et 453).
- L’histoire du baptistère de Riez est fortement liée à l’action de Maxime.
- 460. Maxime meurt entouré de ses fidèles après 27 ans de mission de Charité et de Pénitence.
- 461. Saint-Faust succède à Maxime.
- Morénon. Honoré.
- Peintre
- 1709. Tableau de l’autel de la chapelle de la Sainte-Trinité à Tourtour.
- Proal. Jules.
- Riez, 1851 – 1933.
- 1885. Député.
- Rabbe. Alphons.
- Riez, 1786 – Paris, 1830.
- Historien et journaliste.
Livres liés à Riez à visiter
2005. La Provence Chrétienne. Les Plus Beaux sites. Patrick Verlinden. Editions les 7 Collines.
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