Moulin à vent de Daudet © Verlinden.
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Fontvieille à visiter (13)
- Immortalisée par Alphonse Daudet dans ses Lettres de mon moulin, Fontvieille est un havre de paix au milieu des oliveraies, des vignobles et des collines boisées.
- Code postal. 13990.
- Habitants. Fontvieillois – Fontvieilloises.
- Superficie. 40,18 km2.
- Altitude. 0 m – 245 m.
- Population. 3.619 habitants (2014).
- Coordonnées et Carte. N 43° 43′ 40″ E 4° 42′ 35″. Cliquer sur le lien texte pour afficher la carte Google de la commune.
⇒ Articles liés. Alphonse Daudet – Moulins à vent – Mistral (vent).
Situation de Fontvieille (13)
- Fontvieille est située au sud-ouest du massif des Alpilles et au nord de la plaine de la Crau, à proximité d’Arles et de Tarascon.
Communes limitrophes de Fontvieille
Accès à Fontvieille
- RD 17 vers Arles, à l’ouest, et vers Maussane-les-Alpilles, à l’est.
- RD 33 vers Tarascon, au nord, et vers Raphële-les-Arles et la N113 au sud.
- RD 76F vers les Baux-de-Provence.
Distances de Fontvieille
- Aix-en-Provence. 76 km.
- Avignon. 32 km.
- Lyon. 258 km.
- Marseille. 90 km.
- Nice. 248 km.
- Paris. 719 km.
- Toulon. 155 km.
La Nature à Fontvieille
Le bourg est largement encastré dans le calcaire © Verlinden.
Reliefs, sols
- Fontvieille se niche sur les derniers contreforts sud de la chaîne des Alpilles.
- 15e s – 1914. Exploitation de la pierre de taille.
- En fait, pendant deux millénaires, la magnifique pierre de Fonvieille a été extraite pour construire des monuments et des habitations.
- Pierre coquilière, blonde, facile à travailler..
- Pierre solide protégée par la fine pellicule de calcin qui se forme à sa surface.
- Dès l’Antiquité, cette pierre de Fontvieille sert à la construction des plus prestigieux monuments d’Arles et de Nîmes.
- Au Moyen-Age, les carrières de Castellet permettent la construction de prestigieux édifices :
- Abbaye de Montmajour – Château du Roi René à Tarascon – Eglise Sainte-Marthe de Tarascon – Plusieurs monuments d’Arles…
- 19e s. Fort développement de l’extraction de pierres qui servent notamment à la construction de nombreux immeubles parisiens.
- Il paraît vraisemblable qu’Alphonse Daudet, un temps secrétaire du duc de Morny, ait favorisé cette activité et ces échanges.
- 1875. La bretelle vers Fontvieille de la ligne ferroviaire PLM (Paris-Lyon-Méditerranée) favorise l’acheminement des pierres sur une si longue distance.
- D’autres destinations sont livrées en pierres de Fontvieille :
- Marseille. Gare Saint-Charles – Palais de la Bourse – La Préfecture – Le Palais Longchamp – La Rue de la République...
- Arles. Théâtre moderne et abattoirs.
- Belgique – Grèce – Italie – Pays-Bas – Syrie – Turquie…
- A son apogée 400 ouvriers extraient annuellement 24 000 m3 ce qui en fait le 1er producteur mondial de calcaire fin.
- 1914 – 1918. La Guerre Mondiale met un coup d’arrêt aux activités d’extraction qui peinent à repartir en raison de sites et de produits concurrents.
- 1939. La Marine Nationale achète une grande partie des carrières souterraines afin d’y stocker des obus.
- Après 1945. Le déclin est confirmé à l’exception de la carrière des Taillades qui doit son succès au grand architecte Fernand Pouillon.
- Les Carrières de Provence poursuivent une activité d’extraction.
- Exploitation de la bauxite.
Eau, rivières, canaux
- Le Gaudre d’Auge est un sous-affluent du Rhône. Longueur 10 km.
- Plusieurs canaux traversent la commune :
- Canal de la vallée de Baux.
- Canal du Viguiérat.
Mistral
- Le Mistral venu du nord et du nord-ouest souffle environ un jour sur deux, surtout en hiver et au printemps.
- Voir article Le Mistral.
Flore
- Il faut ici noter une grande variété de flore sauvage.
- Amélanchiers.
- Chênes kermès de petite taille.
- Hélianthème à feuilles de Marum.
- Oliviers.
- Micocouliers.
- Nivéoles…
- Production agricole
- Terroir classé en AOC et production des vins Coteaux-des-Baux-en-Provence.
- Vin de Pays des Alpilles qui est un vin de pays de zone.
- Huile d’olive de la vallée des Baux-de-Provence qui est protégée par une appellation d’origine contrôlée (AOC).
- Olives cassées et des olives noires.
Histoire de Fontvieille
Préhistoire
- v. 2000 av. J.-C. Les hypogées de Fontvieille aussi connues comme hypogées d’Arles, ou hypogées d’Arles-Fontvieille, sont des monuments mégalithiques funéraires en grotte artificielle datés du Néolithique.Les hypogées désignent des allées couvertes à vocation funéraire. Quatre de ces hypogées sont classés au titre des Monuments Historiques.
- Hypogée de Bounias.
- Hypogée de La Source.
- Hypogée du Castelet (ou Arnaud-Castelet).
- Castellum montis Majoris / Castellet est considéré comme le premier Fontvieille.
- Un oppidum est délaissé lors de la colonisation romaine.
- 1386. Raymond de Turenne détruit définitivement le site.
- Hypogée de Cordes (ou Grotte des Fées).
- Le Marais des Baux est occupé à la préhistoire et dans la Haute Antiquité avant que les Romains et les moines du Moyen-Âge ne les assèchent.
- Traces d’occupation dans le chaînon de la Pène.
- Des tribus d’agriculteurs-pêcheurs d’origine salyenne, les tribus Anatilii du nord de la Crau s’installent sur les rivages.
- Le lieu-dit Saint-Jean, à la Pène, porte des traces de déforestation, de labour et les vestiges de cabanes.
Antiquité
- 7 e- 6e s. av. J.-C. La sédentarisation qui s’opère est à rapprocher de l’arrivée des Grecs/Phocéens à Marseille et de la mise en place d’une économie d’échanges : céréales contre produits de luxe.
- Des habitations plus solides que le torchis traditionnel font leur apparition.
- L’extraction de la pierre calcaire dans des carrières aux alentours de Fontvieille, notamment au mont de Cordes et à l’est du village actuel commence dans un contexte économique où agriculture et pastoralisme sont les activités habituelles.
- 6e s. – 2e s. av. J.-C. La colonie grecque d’Arles attire les populations qui désertent un peu les campagnes.
- Les populations locales sont identifiées sous 2 appellations :
Fontvieille est riche en vestiges romains
- Autel votif de La Coquille.
- Double aqueduc de Barbegal et meunerie gallo-romaine.
Du Moyen-Âge à la Révolution française
- Le village médiéval est bâti sur la colline du Castellet.
- Le lieu relève de l’abbaye de Montmajour.
- 12e s. Construction du château fort.
- 1353. Les moines de Montmajour construisent la Tour de Guet dite Tour l’abbé.
- La population commence à se fixer dans la plaine à Fons Vetus (vieille Fontaine) qui deviendra Fontvieille.
- 15e s. Début de l’exploitation régulière des carrières de pierre de Fontvieille.
Clocher de l’église Saint-Pierre © Verlinden.
- 16e s. La pierre extraite sur place sert à la construction d’édifices locaux.
- 1790. Le site est érigé en commune par déduction du territoire d’Arles.
Epoque contemporaine
- 1861. Le séjour d’Alphonse Daudet marque l’histoire de Fontvieille par son impact sur la littérature, le cinéma, la télévision, le tourisme…
- L’économie du début du 20e s. est fondée sur l’agriculture et l’extraction de pierres.
- L’agriculture produit vin, huile et fourrage.
- Les carrières de pierres à bâtir fournissent de la matière expédiée par le port d’Arles vers Marseille et la Méditerranée.
- L’extraction de bauxite reste active jusque dans les années 1950.
- 2ème partie du 20e s. Le tourisme devient une activité économique importante.
- 1962. 2 388 habitants.
- 2012. 3 653 habitants.
Monuments et bâtiments remarquables de Fontvieille
- Le village de Fontvieille présente une belle harmonie architecturale.
- De nombreuses constructions sont bâties avec la célèbre pierre ocrée d’Arles.
- Les carrières s’entremêlent à l’urbanisme pour former un réseau unique.
- La Grande Rue et le Planet traversent d’anciennes extractions.
- La Corniche des Blocs arrive au 4ème étage d’immeubles.
- Le Pont Neuf enjambe un quartier.
Moulin à vent de Daudet © Verlinden.
- Moulin de Daudet ou Moulin Saint-Pierre / Moulin Ribes
- Le moulin à vent est construit sur sur une hauteur proche du village. Avenue des Moulins RD 33, à environ 500 m du centre ville.
- 1814. Construction du moulin à vent qui tourne encore en 1915.
- Alphonse Daudet n’a jamais habité le moulin.
- Inscription « Une ruine ce moulin ; un débris croulant de pierres et de vieilles planches, qu’on n’avait pas mis au vent depuis des années et qui gisait, inutile comme un poète, alors que tout autour sur la côte la meunerie prospérait et virait à toutes ailes. ».
- D’autres moulins du groupe des moulins de Rome sont dans le même secteur : moulin Sourdon (1791), moulin Ramet, moulin Tissot-Avon. Le plus ancien date de 1791.
- Le moulin à vent est construit sur sur une hauteur proche du village. Avenue des Moulins RD 33, à environ 500 m du centre ville.
- Autel votif de La Coquille.
- Au quartier des Taillades. 2,7 km à l’est. Proche de Moulin de la Coquille, visite sur autorisation.
- 2e s. Construction de ce petit monument qui est sculpté dans la masse de la colline.
- Socle en forme de cippe, couronné par une coquille géante qui pourrait évoquer la naissance de Vénus (et non une évocation du Chemin de Compostelle quoique…).
- L’autel est surmonté d’une grande coquille de Pecten (coquille Saint-Jacques) qui est alors considérée comme un attribut de Vénus avant de devenir celui de saint Jacques.
Aqueduc romain de Barbegal © PHB.cz Fotolia.com
- Double aqueduc de Barbegal.
- Ensemble particulièrement fourni qui alimentait des moulins à farine.
- Cet aqueduc aurait été privé.
- Il traversait le rocher en tranchée avant d’alimenter une grande minoterie hydraulique.
- Les bâtiments de la minoterie ont été qualifiés « d’usine romaine » par l’historien anglais Trevor Hodge.
- Le groupe « industriel » se présentait sous forme de deux séries parallèles de huit roues à aubes échelonnées sur un dénivelé d’une vingtaine de mètres. Seize meules étaient ainsi animées…
- Selon des estimations, le complexe pourrait avoir fourni 28 tonnes de farine par journée de 10 heures.
- Le fonctionnement de la meunerie serait daté entre le 3e et le 5e s., à une époque où Arles était résidence impériale sous l’impulsion de l’empereur Constantin 1er.
- Tour des abbés et Ruines du château fort.
- 1309. L’abbaye de Montmajour fait élever une tour à proximité de Font Vieille.
- 1350. L’abbé Pierre de Canillac transforme le site en une puissante construction à plan carré.
- 5 niveaux sont desservis par un escalier à vis dans une tourelle latérale.
- 1450. Allongement du logis.
- Transformation du haut de la tour en pigeonnier.
- L’ensemble ne se visite pas.
- Maison de La Tour.
- Face à la Tour des abbés.
- 16e s. Construction.
- 1er Hôtel de Ville.
- Maison de l’antiquaire Patrick Pascal.
- Belle cheminée en forme de canon.
- Château Légier.
- Proche de la Tour des Abbés.
- Beau portail en fer forgé encadré de piliers et paniers de fleurs en pierre.
- 16e s. Superbe pigeonnier cylindrique surmonté de 3 pinacles à boule.
- Château de Montauban.
- A l’Est du village. Au pied de la colline longée par l’aqueduc gallo-romain Eygalières-Barbegal.
- Le château se situe à quelques centaines de mètres du moulin de Daudet.
- Montauban est la propriété de la famille Ambroy, alliée à Daudet par le mariage d’un de ses cousins.
- Alphonse Daudet y vécut les dernières années de sa vie.
- 1930 – 1945. Le château appartient à Jean des Vallières, cinéaste et écrivain.
- 1980. La commune acquiert le domaine pour en faire un musée principalement dédié à Alphonse Daudet.
- Le peintre Léo Lelée, illustrateur de livres de Daudet et très impliqué dans la sauvegarde du costume traditionnel, est également représenté.
- Le château est sur le « Parcours Daudet« , promenade touristique qui inclue aussi les quatre moulins.
Château d’Estoublon © Verlinden
- Château d’Estoublon.
- Au nord-est du village. A 2,9 km.
- D’abord annexe du château perché de Montpaon.
- 16e s. Propriété de la famille de Grille.
- 1674. Louis XIV érige la seigneurie en marquisat pour soutien apporté 40 ans plus tôt par Charles de Grille lors du soulèvement des Baux.
- 1710. Le château est profondément remanié.
- Révolution française. L’attitude favorable des de Grille aux idées nouvelles explique le fait que le site n’ait pas eu à souffrir de la Révolution.
- Début 19e s. Le domaine prend le nom d’Estoublon.
- Le nom évoque une auberge (stabulum) de la Via Aurelia.
- 1972. Tournage de la série Les Gens de Mogador.
- Magnifique allée de cyprès et de pins conduisant au château.
- Superbe parterre de gazon et de roses. Magnifique parc.
- Escalier en fer à cheval.
- Elégante façade du 18e s.
- Charmante chapelle du 18e s.
- Vitraux animaliers d’Anne Monterini.
- Chemin de Croix en relief.
- Restaurant. Cave, Boutique.
- Forteresse de Montpaon.
- 4,2 km au nord-est.
- Habitat de l’Age du Bronze final jusqu’à l’Age du Fer.
- 1024. Réapparue dans une bulle.
- 12 e s. Fort, village et chapelle Sainte-Marie.
- Halle.
- Centre ville.
- 19e s.
- Habitat troglodytique.
- Au lieu-dit le Planet.
- Autel de la Patrie
- Sur une colline proche du Moulin de Daudet.
- 1794.
- Inscrit Monument Historique.
- Rare survivant, avec celui de Thionville, de ces édifices construits dans la foi révolutionnaire.
- Arènes.
- Centre ville.
- Hôtel de Ville.
- 1935. Installation dans l’ancien Café de l’Alcazar. Rajout d’un balcon de pierre sur 4 colonnes de pierre.
- Grand Lavoir.
- 19e s. Prévu pour être utilisé simultanément par 100 lavandières !
- La Font Vieille ou Vieille Font.
- Site connu des Romains et aménagé vers 1150.
- Aujourd’hui limité à un petit pavillon sous toiture de pierre.
Monuments chrétiens de Fontvieille
Eglise paroissiale Saint-Pierre-ès-Liens © Verlinden.
- Eglise paroissiale Saint-Pierre-ès-Liens.
- 14e s. Destruction des églises Saint-Victor et Sainte-Marie-du-Castelet.
- La paroisse est déplacée à Saint-Jean-du Grès, église éloignée du centre du village.
- 1665. Paroisse dans l’éphémère Eglise de La Tour, adossée à la Tour-des-Abbés.
- 1695. Début de la construction de la nouvelle église qui n’est consacrée qu’en 1739.
- 1739. Agrandissement.
- Façade à portique unique avec pilastres.
- 19e s. Ajout.du clocher-horloge et modification de l’abside.
- Clocher composé d’une tourelle ronde couronnée d’une coupole de pierre et d’une girouette-lévrier, emblème des Canilhac.
- Bel autel en marbre figurant le Christ et des saints.
- 14e s. Destruction des églises Saint-Victor et Sainte-Marie-du-Castelet.
- Chapelle romane Saint-Jean-du-Grès.
- Située à 2 km au nord du bourg, le long de la D 82c sur une terrasse d’oliviers.
- 1067. Propriété des moines de Montmajour.
- Elevée sur l’ancienne voie romaine , dans le hameau de Sinacata, sur l’emplacement d’une villa gallo-romaine.
- La chapelle est le plus grand édifice chrétien de la commune de Fontvieille.
- Jusqu’en 1670. Eglise paroissiale.
- Joli portail étroit de plein cintre formé de longs claveaux rayonnants.
- Nef se terminant par une abside aveugle en cul-de-four.
- Chapelle Saint-Pierre d’Entremont ou Saint-Peyre.
- Sur la piste qui passe devant la Chapelle Saint-Jean vers Saint-Etienne-du-Grès par les collines.
- 13e s. Construction.
- Probablement une ancienne grange monastique liée à l’Abbaye de Montmajour.
- Chapelle Saint-Victor.
- 1,6 km au sud-est du village. Sur une propriété privée.
- 817. Sanctuaire cité.
- Fin 12e s. ou début 13e s. Reconstruction.
- Edifiée par l’Abbaye Saint-Victor de Marseille sur le site d’une villa gallo-romaine.
- Tour de Guet de Canillac ou Tour des Abbés.
- 1353. Construction par les moines de Montmajour.
- 16e s. Remaniée.
- Inscrite aux Monuments Historiques.
- De nos jours, ses salles voûtées accueillent des expositions.
- Abside ruinée de la chapelle Sainte-Croix.
Célébrités liées à Fontvieille
- Audouard (Yvan). Saïgon (aujourd’hui Hô-Chi-Minh-Ville), 27 février 1914 – Paris, nuit du 20 au 21 mars 2004. Journaliste. Dialoguiste.
- Nombreux écrits sur la Provence, terre de ses parents.
- La nouvelle école primaire porte son nom.
- Baldet (Laurent). Né à Fontvieille. Raseteur.
- 1995. Cocarde d’Or.
- Corrio (Joëlle).
- Réside à Fontvieille.
- Auteur du roman « Terre Alpilles« .
Buste d’Alphonse Daudet © Verlinden.
- Daudet (Alphonse). Nîmes, 13 mai 1840 – Paris, 13 décembre 1897. Ecrivain. Auteur dramatique.
- Voir article Biographie d’Alphonse Daudet.
- Alphonse Daudet vit la fin de sa vie au château de Montauban à Fontvieille.
- 1865. Lettres de mon Moulin avec notamment La chèvre de Monsieur Seguin. Ecrit à Clamart.
- 1872. Tartarin de Tarascon.
- 1872. L’Arlésienne.
- 1879. Maladie incurable de la moelle épinière.
- Falomir (Manolo). Alcalà de Xivert 1930 – 2005. Raseteur.
- 2 fois Cocarde d’Or.
- Un Chemin de Fontvieille porte son nom.
- Il repose au cimetière de Fontvieille.
- Lelée (Léo). Mayenne, décembre 1872 – Arles, 26 juin 1947. Illustrateur. Peintre.
- Léo Lelée vit à Fontvieille. Il est attiré dans le Pays d’Arles par la lumière tant appréciée par Vincent Van Gogh et par la dimension biblique de la Provence.
- Une exposition permanente lui est consacrée dans le vieux village.
- Norman (Chris). Né en Ouganda. 62 ans en 2015. Consultant domicilié à Fontvieille.
- 2015. Vendredi 21 août. Il fait figure de sauveur, au même titre que les trois Américains (Aleksander Skarlatos, Spencer Stone et Anthony Sadler) et le voyageur français qui ont contribué à empêcher le carnage du Thalys Amsterdam-Paris en stoppant le tireur terroriste islamiste radical.
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