Longtemps, Eoures n’a pas eu de rues mais une route qui la traversait….

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Histoire du Quartier – Village d’Eoures

La France commence Ici, à Eoures

Eoures n’est pas le bout de la France, ni un coin reculé de la Provence, c’est la France, là où les français vivent.
- Si la France était la mer ou un fleuve, elle serait alimentée par des rivières et des rus.
  - La France est alimentée par ses milliers de sources que sont ses villages, ses villes avec leurs quartiers avec, pour les plus grandes, leurs quartiers-villages.
  - Harmonie – Variété, la France est une superbe mosaïque dans laquelle les tesselles naturelles et humaines forment des motifs historiques, sociaux, religieux, militaires, artistiques….
- La France ne commence pas à Paris et ne finit pas dans les autres villes et villages.
  - C’est exactement l’inverse, la France commence là où les Françaises et les Français vivent.
- La France ne commence pas dans les Ministères et les Cabinets.
  - La France commence dans les écoles, les hôpitaux, les stades, les commerces, les champs et les forêts… bref, là où les Françaises et les Français vivent.
  - Les Ministères et les Cabinets formés et payés par les Françaises et les Français doivent aider la France, les Françaises et les Français à mieux se connaître, à mieux se protéger, à mieux échanger à vivre des vies paisibles et joyeuses au lieu de se perdre dans des divisions inventées, fabriquées et vides de sens ( La Droite, la Gauche, le Centre…) et sur des concepts théoriques éloignés de la Vie et tournant le dos aux actions opérationnelles au service des citoyens.
  - La République Française et l’Europe n’existent pas pour diriger, penser, punir, récompenser… mais pour aider à mieux échanger, à se connaître, à s’apprécier et à faire face aux accidents causés par la Nature ou des instances malveillantes (Pays, mafias…).
  - Le Maire est l’élu clé de la République française.
    - Il ne doit pas être tracassé par des parasites mais pouvoir compter sur des assistances, des expertises et des échanges au service des citoyens.
    - La hiérarchie des pouvoirs n’a aucun sens si ce n’est d’enrichir et de nourrir des minorités parasites. Cette hiérarchie doit urgemment être inversée avec en haut le local, les lieux de vie et en bout de ligne les organismes de l’Etat National et en pointillé des Organisations Mondiales.
  - Le Monde Romain n’a jamais été un Empire Italien, il s’est développé et a duré plusieurs siècles avec des Provinces fortes, des cités fortes… La Ville de Rome, Urbs, est avant tout une Cité en lien avec les autres cités… Sa valeur suprême était la Paix, la Pax Romana.
  - Le Monde Médiéval qui précède les « grands rois de France » a duré sur un modèle décentralisé dont on découvre chaque jour les forces et les vertus…
  - La Révolution française partie sur des enjeux locaux contre un pouvoir centralisé a été détournée par un petit groupe de Tyrans, Robespierre en tête, pour évoluer vers l’Empire napoléonien, son hyper-centralisation, ses guerres, ses ravages et ses échecs…
  - L’histoire à écrire est celle des périodes de Bonheur et des Malheurs de la France et du Monde pour les comprendre et donner un sens au Quotidien, au Présent, aux Personnes, à la Nature et à l’Avenir…

La Naissance du village d’Eoures

La naissance d’Eoures se fait dans le contexte de la Libération de la Provence de l’occupation musulmane.
- 973. La victoire totale de Tourtour de Guillaume sur les Musulmans met fin à des siècles d’occupation et de misère en Provence.
Autour de l’An 1000. La Provence retrouve ses exceptionnelles racines Romaines et Chrétiennes.
- Débarrassée de ses sinistres occupants qui ont détruit, rançonné, violé, pillé… La Provence redécouvre l’Ecriture, le Commerce, les activités Agricoles, l’Artisanat, les Echanges commerciaux… et tout simplement la Joie et le Bonheur.
- Comment avons-nous pu oublier les destructions et les misères de 2-3 siècles ?
- Le mot « Joie » s’applique à ce tournant de l’An 1000… Joie de créer, de vivre ensemble, d’échanger, de profiter des jours et des saisons…

© Verlinden. – Fred Romero / Flickr.com

Autour de l’An 1000. Eoures prend forme avec quelques maisons et une petite chapelle dédiée à Notre-Dame..
- 1060. Une charte concernant une donation faite au Monastère de Saint-Victor (Marseille) par les Vicomtes de Marseille (Seigneurs Jauffret et Fulco). Le nom de Nuvolas est utilisé et deviendra Nooule et Néoules.
- 1113. 23 avril. Le Pape Pascal II confirme les biens de l’église de Marseille, il est question de la chapelle de Sainte-Marie de Evola.
- 1119. 9 janvier. Les terres d’Eoures sont cédées aux Chanoines de la Cathédrale La Major. « Les moines abandonnent aux clercs l’Eglise de Eula avec tout ce qui est acquis et à acquérir ».
  - - Le nom d‘Eula est ici cité.
    - Le nom de Novolas apparaît par ailleurs pour désigner le territoire maintenant appelé Eoures.
  - Le site est alors une paroisse plutôt qu’une cité, un hameau ou un bourg.
  - L‘église d’Eoures possède des dépendances sur les futurs territoires des communes de Marseille et d’Aubagne.
    - L’église occupe probablement son emplacement actuel.
    - Le titre de l’église d’Eoures a toujours été Notre-Dame-de-Nativité.
    - Le patron qui lui a été donné dans la suite est Saint-Joseph.
1113. Le nom se Novolas se transforme en Evola.
1119. Nouvelle évolution du nom de territoire vers Eula.
1289. Une sentence confirmée le 14 juillet 1318 unit l’église à la prébende de Saint Thyrse qui deviendra Saint-Loup.
1306. Les noms d’Eura ou Eoura sont utilisés (Nostra Donna Deura).
1501. Notra-Dame d’Orra est citée.
1562. Un document mentionne Notre-Dame d’Eoura.
1653. Dénombrement des cheminées du village : 33 répertoriées avec les noms de familles suivants : Berenguier, Camoing, Dampmartin, Fabre, Lioutaud, Ramel, Reynard, Taron.
- 17e s. Plusieurs réunions des possédants-biens confirment les nom de Bérenguier comme étant le plus porté
1704. Le nom se fixe et devient Eoures.
- On notera que le nom de Néoules a été conservé. dans le patois par les gens du Pays qui utilisent le R ou le L en provençal.
1727. Assemblée des possédants-biens dans la maison claustrale (le presbytère) afin de prendre des mesures pour la voûte de l’église qui menace de tomber.
1762. Baptême d’un bébé fille trouvée devant la porte de l’église.
Avant la Révolution, chaque famille avait son tombeau dans la chapelle.
- Les baptêmes et les mariages se faisaient à la Cathédrale La Major dont Eoures dépendait.
1791. Révolution française. L’Abbé de Colonis est un abbé assermenté à la « Constitution décrétée par la Nation« .
- L’Eglise est transformée en Temple de la Raison par les habitants et débarrassée de tous les objets du culte : tableaux, autel, tribune, statues…. On parle de pillage.
- Des confessionnaux, stalles et objets divers auraient été brûlés sur la Place de l’Eglise.

L’origine du nom Eoures a divisé les experts

Saurel pense que Eoures viendrait d’Eure-Uourre signifiant chênes-nains ou kermès.
L’abbé Agnel conteste cette origine en soulignant que le chêne-vert, c’est l‘euserion et non pas l’eure. Il rapproche Eoures du mot latin hederœ qui signifie lierre.

Les activités agricoles

De mémoire d’hommes, l’agriculture à Eoures a été très réputée :
- Kermès et Lierre.
- Fèves, petits pois

19e s. Le Village d’Eoures se structure

1801. Rétablissement du culte. Eoures est rattachée aux Camoins jusqu’en 1832.
- Pendant plusieurs années, aucun exercice religieux n’est célébré dans l’église de Notre-Dame-d’Eoures qui a été dévastée.
- Les paroissiens d’Eoures n’ont pas attendu la reconnaissance officielle pour la célébration du culte et leur générosité a permis de renforcer le bâtiment et d’y apporter de nombreux objets du culte.
1839. 20 février. La succursale d’Eoures est instituée ecclésiastiquement.
- 1845. 18 août. Le pouvoir civil, représenté par Le roi Louis-Philippe, reconnaît la succursale.
- Mgr. de Mazenod, évêque de Marseille, donne Saint Joseph comme patron à la paroisse.
- La Nativité de la Très Sainte Vierge, titre séculaire de l’église, demeure l’objet de la plus grande dévotion.
1843. Une Croix de Mission est érigée sur la place, devant l’église.
1847. Importants travaux dans l’église.
- La plus grande partie des murs est détruite.
- La disparition de la pierre-clé de voûte prive de la date de construction de l’édifice précédent.
1850. Poursuite d’importants travaux.
- Réunion des 2 nefs en une seule.
- Edification du tambour d’entrée avec la tribune au-dessus.
- Fonts baptismaux d’un côté et confessionnal de l’autre.
- Porte d’entrée au centre de la façade.
- Sacristie agrandie.
- Cloison masquant la chapelle de Sainte-Anne, utilisée comme dépôt.
1851. Achat d’une partie de maison permettant d’agrandir le presbytère.

Phototyp E. Lacour

1853. Une lettre informe qu’Eoures dépend du Canton d’Allauch.
1859. Nouveaux travaux dans l’église.
1874. Les changements apportés à l’église sont tels qu’elle est pratiquement reconstruite.
1875. Construction du clocher de style roman pourvu de cloches et doté d’une horloge.
- 18 m de hauteur.
- Statue de la Vierge protectrice du terroir placé sous sa protection. Mains jointes, regard tourné vers le ciel.
- Notre Dame du Lierre.
1875. Eoures compte 240 habitants.
- 50 habitants à Eoures.
- 35 habitants aux Grandes Bastides.
- 24 habitants à la Pageote.
- 25 habitants à la Brinquironne.
- 25 habitants à la Tuilière.
- Le reste est disséminé sur le territoire.

Importance du Canal de Marseille

1839 – 1854. 15 ans pour construire le canal.
1854 – 1869. 77 km de canalisations et des nouveaux bassins réservoirs sont construits notamment pour atteindre tous les quartiers de Marseille, Allauch, Plan-de-Cuques et Aubagne.
Le canal renforce les activités agricoles ancestrales d’Eoures.
- Eoures était réputée pour ses primeurs, notamment ses tomates ou pomme d’amour.
- Fèves, petits pois, légumes.
- L’huile d’Eoures était recherchée.
- Le vin avait bonne réputation avant le phylloxera.
- Les lièvres étaient nombreux sur le territoire.
- Les grives, les perdreaux, les alouettes entraient dans les recettes locales.
- Les fleurs étaient très présentes.
- Eoures faisait penser à un « petit paradis avec ses « charmantes et discrètes propriétés…

Liste des curés d’Eoures et événements liés

1839–1841. Martin Dalmas.
1841–1852. J-B. Barneaud.
- 1843. 9 avril. Erection sur la Place de l’Eglise de la Croix en fer forgé.
1852–1853. Joseph Antonini.
1853–1882. Henri Grimaud.
- L’abbé Grimaud, pendant ses 29 ans à Eoures est le grand restaurateur de l’Eglise.

Statue de Notre-Dame de la Garde © Verlinden – Notre-Dame d’Afrique (Alger) © Jacques Rollet / Flickr.com

- 1875 – 1876 – 1877 donnent à l’église son aspect actuel.
  - 1875. Construction du clocher de 20 m de haut et la façade avec son portail en fer.
    - La statue de Notre-Dame. de Lourdes domine le clocher.
      - La statue mesure 3,30 m de haut.
      - La Vierge Marie est exactement à la même altitude que la statue de Notre-Dame-de-la-Garde qui, elle-même, est en lien avec Notre-Dame-d’Afrique, à Alger…
    - L’horloge date du 19 décembre.
  - 1876. Les murs de l’église sont exhaussés, la toiture est refaite, la voûte d’arêtes est construite. La petite sacristie, ancienne chapelle dédiée à Sainte Anne est mise en état.
  - 1877. Peintures à l’huile à l’intérieur de l’église.
1882–1888. Joseph-Antoine Vecco.
1888–1899. Joseph Mandine.
1899–1908. Léon-Marie Barucco.
- L’abbé fait poser les 9 beaux vitraux produits par la maison Donet et des autels en marbre remplacent des autels en bois.
1908–1924. Gabriel Saurat.
- La façade de l’église est cimentée. La toiture est réparée.
- 1909. Acquisition de la statue de Notre-Dame-de-Lourdes.
- 1922. Acquisition de la statue de Jeanne d’Arc.
1924–1934. Jean-Baptiste Delestrade.
- Un habile système électrique est mis en place.
1934 – . Abbé Louis Muttini.
- Campanile électrique.
- Chauffage central.
- Le curé d’Eoures rappelle fréquemment que « la meilleure manière d’embellir les églises, c’est de les remplir... ».
- Groupe artistique d’Eoures.
- Œuvre des Patronages.
- Le bulletin paroissial Lou Vent de N’Eouro célèbre son 95e numéro.
- Pèlerinages, promenades, sorties, matinées champêtres…
- Pèlerinages.
  - Notre-Dame-de-la-Galine (La Nerthe), proche de l’Estaque, – Sainte-Baume – Saint-Gens (Le Beaucet) – Notre-Dame-de-Lumières à Goult – Moustiers-Sainte-Marie – Notre-Dame de Grâces. à Cotignac.

Les Fêtes populaires

Castagnado de la Toussaint.
Concours des crèches.
Ribote avec les Œufs de Pâques….

Bâtiments remarquables

La Bastide des Escourches.
- Escourches en provençal veut dire Le Raccourci.
- 1809. Acte de vente signé chez maître Blanc, notaire à Marseille.
  - A Néoules. Ayant appartenu à Nicolas Arnoux depuis 1772.
  - Mise en vente par expropriation forcée (19 Nivôse an XI). L’acheteuse de Nicolas Arnoux est dame Claire Laurence Auzilly, veuve de Paul Antoine Chiousse.
  - Avait appartenu à Maître Camoin, notaire, dont l’étude se trouvait Grande Rue à Saint-Marcel ainsi qu’aux Camoins, pendant plus d’un siècle.
  - Située en majeure partie sur le territoire de Marseille et pour une moindre part sur le territoire d’Aubagne.
- 1869. 20 mars. Expropriation pour l’établissement du canal d’Aubagne.
  - Superficie. 13 hectares.
  - Nommé Aqueduc des Beynet ou de la Tuillière.
  - 6 arches de 10 m d’ouverture plein cintre.
  - Piles de 3,40 m d’épaisseur à la base.
  - Hauteur. 20 m depuis le fond du vallon. Longueur. 110 m.
- 1882. 21 mars. Acquise par monsieur Louis Honoré Marius Benet, la propriété reste dans la famille jusqu’au 21 mars 2000.
  - Marius Benet construit la Bastide afin d’y accueillir ses enfants et petits enfants.
  - A Eoures, se trouvait alors La Sauvadoure, maison de vacances de l’épouse de Marius Benet.
  - Marie Philippine Arnaud offre la 1ère cloche d’Eoures nommée La Marie-Philippine. Elle en devient la marraine.
  - La famille Benet est étendue.
- 1885. Acquisition de terrains limitrophes.
- 1971. Un circuit d’eau sous pression est réalisé avec une grande citerne sous l’esplanade de la Bastide, côté est.
- 2001. L’Atelier du Patrimoine de la Ville de Marseille fait un recensement des demeures de caractères, bastides et châteaux situés dans les 16 arrondissements de Marseille.
- La Bastide des Escourches devient une maison d’hôtes avec une piscine, une salle de séminaires…

Tournages de films à Eoures ou à proximité immédiate

1935. Angèle de Marcel Pagnol est tourné en partie à la Treille et sur les collines d’Aubagne dans le Garlaban.
1937. Regain.
1937/38. Le Schpountz. Scènes tournées à Eoures dans l’épicerie et la boulangerie qui existent toujours.
- Une Peugeot 601 appartenant à Marcel Pagnol et carrossée par Marcel Pourtout est conduite par Fernandel.

20e s. Eoures devient un Quartier-Village de Marseille

1934. La Fête de l’Adoration célébrée le dernier jeudi du mois d’août est portée à 2 jours de fête : le dernier dimanche d’août et le lundi mati.
1939. Eoures célèbre le centenaire paroissial (1839-1939).
- Labbé Marius Ganay édite une petite histoire.
1939. Population. 425 âmes.

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20e s. Le développement démographique très rapide de Marseille entraîne l’absorption de nombreux villages de l’aire Marseillaise et leur transformation en quartiers de Marseille. Marseille est-elle même fondue dans une Métropole... Dans le même temps la France se fond chaque jour davantage dans une Europe politicienne, technocratique, marchande, sportive, culturelle… et dans un Mondialisme sans limite…
- Dans ce contexte, parler d’Eoures semblerait sans importance, relativement inutile, dépassé voire ringard ou réactionnaire…
- Nous pensons exactement l’inverse, La France, l’Europe, le Monde commencent là où les gens vivent. Les liens tissés entre communautés humaines au sein d’ensembles régionaux, nationaux, supranationaux, mondialistes représentent plus de potentiel, de joies et de résultats que ces constructions idéologiques, machiavéliques, vidées de sens, d’espoirs et de joie.
- La Nature et ses constituants animaliers, végétaux, reliefs, éléments, climat… doivent être vécus en osmose, non en opposition ou en dégradations…

21e s. Eoures Aujourd’hui

2013. Importants travaux dans l’église, suite à un écroulement.
Années 2020.
Eoures est un quartier-village vivant.
- Quartier-village de Marseille 11 aux limites d’Aubagne.
- Qualité de vie : Habitat, Nature, Commerces, Services aux personnes…
- Comité d’Intérêt de Quartier (C.I.Q.) actif : conférences, concerts, activités sportives et culturelles…
- Intégration et préservation de la nature.
  - Proximité de l‘Etrier d’Aubagne (activités équestres) et du Domaine de la Font de Mai.

Livres et Publications liés à Eoures

1987. Histoire de La Treille, des Camoins et d’Eoures. André Camoin (1921–2006). Editions les Bardes. Saint-Raphaël. 83700.

1980. Musulmans et Sarrasins dans le Sud des Gaules. Du VIIIe au XIe siècle. Philippe Senac. Éditeur : le Sycomore. 146 pages.

1839–1939. Eoures. Centenaire Paroissial. Abbé Marius Ganay.

1878. La Banlieue de Marseille. Alfred Saurel. Editions Jeanne Laffitte.

A noter. Il est étonnant et important de noter le faible nombre de travaux et de publications sur l’Empereur Constantin (probablement le plus grand empereur Romain et l’une des personnalités majeures de l’Histoire du Christianisme), et sur la période 700–1100 en Provence alors que des personnalités et des périodes bien moins importantes font l’objet de nombreux travaux de recherche, publications, conférences… Prenons, par exemple, le cas de Vercingétorix cité 2 fois par César, largement pour des raisons de propagande, et qui est connu et l’objet de publications, films, documentaires… Qui parle des années 700-1100 et Comment ?