Histoire de Ferrari au Grand Prix de Monaco


Réplique de la Ferrari 625 de Maurice Trintignant à Monaco © uveX – Pixabay.

 

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Histoire de Ferrari au Grand Prix de Monaco


 

Dates clés de Ferrari au Grand Prix de Monaco


 

Ferrari-F1-Monaco-Verlinden 

© Verlinden.

 

1950. 1ère participation de Ferrari à Monaco
  • 1950 est l’année de naissance du tout nouveau Championnat du Monde de Formule 1.
  • 1950 marque aussi le retour du Grand Prix de Monaco qui est inscrit  au calendrier une semaine après l’épreuve inaugurale de la nouvelle formule disputée à Silverstone.
  • 19 partants et une victoire de Juan Manuel Fangio parti en pole position sur son Alfa Romeo 158.
  • Pour sa 1ère participation Ferrari avec la 125/49 pilotée par Alberto Ascari prend la 2ème place.

 

1952. 1ère victoire Ferrari en voitures de sport
  • Vittorio Marzotto (Italie) sur Ferrari 225 S (Vignale) est le premier vainqueur de la marque au cheval cabré.
    1. 18 partants avec de grosses sportives de 2 litres de cylindrées.
    2. Ferrari remporte les 5 premières places.
    3. Un carambolage à Sainte Dévote avait éliminé les leaders sur Aston-Martin, Jaguar et Talbot.

 

1955. 1ère victoire Ferrari en Formule 1
  • Le français Maurice Trintignant remporte le 13ème GP de Monaco qui prend cette année le titre honorifique de Grand Prix d’Europe.
    1. La 1ère ligne avait fière allure avec Fangio (pole), Ascari et Moss.
    2. Ascari perd le contrôle de sa Lancia à la chicane et plonge dans le port… 4 jours plus tard il trouve la mort mystérieusement à Monza
    3. La Ferrari N°44 du Vauclusien Maurice Trintignant surnommé « Pétoulet » est une Ferrari 625 dont Dinky Toys avait fait une réplique devenu un jouet phare de l’histoire.

 

1975. 1ère victoire depuis 20 ans…
  • 20 ans après Maurice Trintignant, l’Autrichien Nikki Lauda au volant de la Ferrari 312 T apporte enfin la victoire à Ferrari.
  • La voiture est un chef d’œuvre de Mauro Forghieri dérivé d’un modèle expérimental appelé « spazzaneve » (chasse-neige) avec ses deux ailerons avant et arrière.
    1. La lettre T pour Transversal désigne l’originalité de la boîte de vitesse transversale permettant de réduire le moment d’inertie polaire.
    2. Le 12 cylindres affiche environ 495 chevaux.
    3. Nikki Lauda et la Ferrari 312 T2 doublent la mise en 1976.

 

Victoires de Ferrari au Grand Prix de Monaco


 

Podium 1999. Doublé Ferrari : Schumacher et Irvine devant Hakkinen. © Sporatlas Monaco.

 

  • 1952. Vittorio Marzotto (Italie). Ferrari 225 S Vignale.
  • 1955. Maurice Trintignant (France). Ferrari  625.
  • 1975. Niki Lauda (Autriche). Ferrari 312 T.
  • 1976. Nikki Lauda. (Autriche). Ferrari 312 T.
  • 1979. Jody Scheckter (Afrique du Sud). Ferrari 312 T4.
  • 1981. Gilles Villeneuve (Canada). Ferrari 126 C.
  • 1997. Michael Schumacher (Allemagne). Ferrari F 310B.
  • 1999. Michael Schumacher (Allemagne). Ferrari F 399.
  • 2001Michael Schumacher (Allemagne). Ferrari.
  • 2017Sebastian Vettel (Allemagne). Ferrari.

 

Pilotes de Ferrari à Monaco


 

  • Alboreto (Michele). Italie. 19841985198619871988.
  • Alesi. (Jean). France. 19911992199319941995.
  • Allison (Cliff). Royaume-Uni. 1959 1960.
  • Alonso ( Fernando). Espagne. 2010 2011 2012 2013 2014.
  • Amon ( Chris). Nouvelle-Zélande. 19671969.
  • Andretti (Mario). Etats-Unis. 1971.
  • Arnoux (René). France. 19831984.
  • Ascari (Alberto). Italie. 1950.
  • Bandini (Lorenzo). Italie. 19621964196519661967.
  • Barichello (Rubens). Brésil. 2000 2001 2002 2003 2004 2005.
  • Behra (Jean). France. 1959.
  • Berger (Gerhard). Allemagne. 199319941995.
  • Biondetti (Clemente). 1952.
  • Bracco (Giovanni). Italie. 1952.
  • Brooks (Tony). Royaume-Uni1959.
  • Buonacorrsi (F). Italie. 1952.
  • Capelli (Ivan) Italie. 1992.
  • Carini (Piero). Italie. 1952.
  • Castellotti (Eugenio). 19521956.
  • Collins (Peter). Royaume-Uni. 195619571958.
  • Fangio (Manuel). Argentine. 1956.
  • Farina (Giuseppe). Italie. 1955.
  • Frère (Paul). Belgique. 1955.
  • Ginther (Richie). Etats-Unis. 19601961.
  • Hawthorn (Mike). Royaume-Uni19571958.
  • Hill (Phil). Etats-Unis. 1959196019611962.
  • Ickx (Jacky). Belgique. 1970197119721973.
  • Irvine (Eddie). Irlande. 1996199719981999.
  • Johansson (Stefan). Suède. 19851986.
  • Lauda (Niki). Autriche. 19741975 (1er) – 1976 (1er) – 1977.
  • Leclerc (Charles). France. 20192022.
  • Lucas (Jean). France. 1952.
  • Mairesse (Willy). Belgique. 19621963.
  • Mansell (Nigel). Royaume-Uni19891990.
  • Marzotto (Vittorio). Italie. 1952 (1er).
  • Massa (Felipe). Brésil. 20062007 2008 2009 2010 2011 2012 2013.
  • Merzario (Arturo). Italie. 1973.
  • Musso (Luigi). Italie. 19561958.
  • « Pagnibon« . (Pierre Boncompagni dit). France. 1952.
  • Pironi (Didier). France. 19811982.

 

© Verlinden.

 

  • Prost (Alain). 19901991.
  • Regazzoni (Clay). Suisse. 19711972197419751976.
  • Räikkönen (Kimi). Finlande. 2007 2008 2009 2014 2015 2016 2017 2018.
  • Reutemann (Carlos). Argentine. 19771978.
  • Rodriguez (Ricardo). Mexique. 1962.
  • Sainz (Carlos). Espagne. 20212022.
  • Scarlatti (Giorgio). Italie. 1956.
  • Scheckter (Jody). Afrique du Sud. 1979 (1er) – 1980.
  • Schell (Harry). Etats-Unis. 1955.
  • Schumacher (Michaël). Allemagne. 19961997 (1er)19981999 (1er) 2000 2001 (1er) 2002 2003 2004 2005 2006. 1er pilote Ferrari à Monaco (victoires et participations).
  • Simon (André). France. 1952.
  • Sommer (Raymond). France. 1950.
  • Stagnoli (Antonio). Italie. 1952.
  • Surtees (John). 1963196419651966.
  • Tambay (Patrick). France. 1983.
  • Taruffi (Piero) Italie. 1955.
  • Trintignant (Maurice). France. 1955 (1er) – 1957.
  • Vettel (Sebastian).  Allemagne. 2015 2016 – 2017 (1er) – 2018.
  • Von Trips (Wolfgang). Allemagne. 1957195819601961.
  • Troubetskoy (Prince Igor). Italie. 1948.
  • Villeneuve (Gilles). Canada. 1978197919801981 (1er).
  • Villoresi (Luigi). Italie. 1950.
  • Whitehead (Peter). Royaume-Uni1950.

 

Modèles de Ferrari à Monaco


 

          

Lancia -Ferrari D 50Ferrari 156 (« museau de requin ») – Ferrari 126 C4 – Ferrari F 300 – Ferrari 2005 – Ferrari F14 Alonso © Pixabay (voitures et maquettes)  Ferrari 312 T ( modèle Vitesse) – Ferrari F 87/88 (modèle Onyx) – Ferrari 93A Alesi (modèle Onyx).

 

   

Ferrari 625 – Ferrari 156 – Ferrari 312 T – Ferrari 312 T4 © Timbres Monaco et San Marin.

 

  • Ferrari 125/49.
    1. Première automobile historique du constructeur automobile italien Ferrari.
    2. Voiture de course conçue en 1947 par Enzo Ferrari.
    3. Déclinaisons en version S, GP et plus tard F1.
    4. Le nom 125 correspond au volume arrondi de chaque cylindre de son moteur V12 (1497 cm³ / 12 soit 124,75 cm³ par cylindre).
  • Ferrari 225 S (Vignale).
    1. Carrossée par Vignale en version coupée et spider.
  • Ferrari 555 et Ferrari 625 « usine »
    1. Ferrari 555  » Super Squalo », dérivées de la 553 de la saison passée.
    2. Ferrari 625 dérivées de la 500 F2.
  • Lancia-Ferrari D 50.
    1. Lancia se retire en 1955 et Ferrari hérite de son matériel.
    2. La voiture se distingue par ses 2 réservoirs latéraux qui se transformeront en garde-roues.
  • Ferrari-Lancia 801.
    1. La 801 est issue d’une évolution de la D 50 : moteur plus puissant et ligne plus effilée grâce à la suppression des réservoirs latéraux. La silhouette évoque la Super Squalo 555.
    2. 801 désigne les 8 cylindres, la Formule 1 et le 0 pour créer un nombre classique à 3 chiffres.
  • Ferrari 246.
  • Ferrari 256.
    1.  Capacité portée à 2,5 l ce qui justifie son nom.
    2. Frein à disques.
  • Ferrari 156 F1.
    1. La 156 F remporte 5 des 8 Grand Prix de 1961.
    2. Monaco lui échappe avec le magicien Stirling Moss qui place sa Lotus 18 devant les 3 Ferrari 156 de Ginther, Phil Hill et Von Trips.
  • Ferrari 156 F1 63.
  • Ferrari 512 ou 1512.
    1. 12 cylindres à plat (180°) qui lui donnent son nom.
    2. Selon les caractéristiques des circuits, la 512 dispose d’un nez long avec une entrée d’air étroite ou d’un nez court avec une ouverture plus large (option retenue à Monaco).
    3. Pendant la saison 1964, les Ferrari 512 de Surtees et Bandini sont dominées par les Lotus de Clark et Hailwood et les BRM de Graham Hill et Ginther.
  • Ferrari 246.
    1. Voiture agile favorisée sur le circuit de Monaco où Bandini enlève la 2ème place en 1966 au milieu d’une meute BRM aux places 1, 3, 4, 5.
  • Ferrari 312.
    1. Aérodynamique nouvelle à l’avant et premier volet sur l’arrière.
    2. 1969 est la plus mauvaise saison de Ferrari en F1 avec un score de 7 points. Le plus souvent l’écurie ne dispose que d’un pilote en course.
    3. 1969 est l’année où Fiat entre dans le capital de Ferrari.
  • Ferrari 312 B2. Moteur Turbo.
    1. Très bonne saison 1970 avec Jacky Ickx et Clay Regazzoni juste derrière Jochen Rindt.
  • Ferrari 312 B3.
    1. La 312 B3 inaugure l’ère des monocoques en aluminium sans structure interne en acier
    2. La voiture est moins compétitive que la B2 et la Scuderia ne marque que 12 points en Championnat.
  • Ferrari 312 T.
    1. La 312 T inaugure une ère de grand succès.
    2. Après 11 ans d’attente Ferrari retrouve le haut du podium avec le s titres de Champion du Monde des Pilotes et des Constructeurs.
    3. Le 12 cylindres avec la célèbre boîte de vitesse transversale (T)  permettent de raccourcir la longueur de la voiture et de concentrer sa masse.
    4. La suspension et le perfectionnisme de Lauda aux essais permettent les meilleurs réglages.
    5. Niki Lauda remporte  5 victoires (Monaco, Belgique, Suède, France, USA).
  • Ferrari 312 T2.
    1. Succès dans la lignée de la 312 T, mais le titre de Lauda est assombri par l’accident du Nurburgring et le départ de Lauda de la Scuderia.
  • Ferrari 312 T3.
    1. Lotus met fin à la domination de Ferrari les années précédentes.
  • Ferrari 312 T4.
    1. Ce modèle marque le retour de Ferrari au sommet des deux championnats en 1979.
  • Ferrari 312 T5.
  • Ferrari 126 C.
    1. En 1981, la 126 CK marque l’entrée officielle de Ferrari dans l’ère de Double Turbo.
    2. Didier Pironi entre dans la Scuderia aux côtés de Gilles Villeneuve qui signe une victoire à Monaco.
  • Ferrari 126 C2.
    1. La voiture est bonne mais l’année est tragique.
    2. 8 mai 1982. Mort de Gilles Villeneuve et, à peine 3 mois après, Didier Pironi doit se retirer après un terrible accident au Grand Prix d’Allemagne.
    3. La 126 C2 remporte le titre des Constructeurs grâce à Patrick Tambay (1er à Hockenheim) et à Mario Andretti qui remplacent les 2 pilotes officiels.
  • Ferrari 126 C2B.
  • Ferrari 126 C4.
    1. Michele Alboreto marque le retour d’un pilote italien dans la Scuderia aux côtés de René Arnoux.
    2. La voiture au profil marqué de flèche est cependant dominée par les McLaren avec le titre de Lauda seulement un demi point devant Prost…
  • Ferrari 156/85.
    1. Cette voiture pilotée par Alboreto marque le retour de Ferrari au plus haut niveau juste derrière Prost.
  • Ferrari F1-75. 066/7.
    1. Saison 2022.
    2. Museau pointu et pontons très travaillés.
    3. Importantes entrées d’air pour le refroidissement.
    4. Boîte à air de forme triangulaire.
  • Ferrari F1 86.
    1. Aucune victoire pour cette voiture dans un Championnat dominé par McLaren, Lotus et Williams.
  • Ferrari F1 87.
    1. Nouveau moteur V6 peu fiable avec 19 abandons dans la saison.
  • Ferrari F1 87/88 C.
    1. Une seule victoire mais la 2ème place en Championnat l’année de la disparition d’Enzo Ferrari (14 août 1988), à l’âge de 90 ans.
  • Ferrari F1  89.
    1. Mansell (3 victoires) et Berger sont aux commandes.
  • Ferrari F1  90.
    1. Prost et Mansell. Prost signe la 100ème victoire de la Scuderia en Formule 1 dans son duel avec Senna.
  • Ferrari F1 91 642.
    1. La voiture n’est pas exceptionnelle mais l’équipe est déchirée.
    2. Les français Prost et Alesi ne remportent aucune course. Morbidelli remplace Prost en fin de saison.
  • Ferrari F 93A.
  • Ferrari 412 T1.
    1. La voiture marque le retour de Ferrari au plus haut niveau.
  • Ferrari 412 T2.
    1. Alesi et Berger signent de belles places et des victoires sans parvenir au plus haut niveau.
  • Ferrari F 310.
    1. 1ère Ferrari F1 dotée d’un moteur 10 cylindres et de 3 litres qui lui donnent son nom.
    2. L’arrivée de Michael Schumacher dans la Scuderia booste les performances sans toutefois obtenir de titre.
  • Ferrari F 310B.
    1. Aux mains de Schumacher la voiture rate de peu les titres.
    2. 5 victoires pour Schumacher (Monaco, Canada, France, Belgique et Japon).
    3. Bataille pour le titre jusqu’à la dernière course à Jerez avec Jacques Villeneuve (Williams-Renault) qui voit le Canadien prendre le titre après un accident sujet de controverse.
  • Ferrari F 300.
    1. Une toute nouvelle voiture conçue par Rory Bryne pour répondre aux nouvelles réglementations de 1998.
    2. Nouveau moteur Type 047. Nouvelle suspension.
    3. Michael Schumacher manque de très peu le titre. Le succès n’est plus très loin.
  • Ferrari F 399.
    1. L’évolution de la F 300 permet à Ferrari de prendre le titre des Constructeurs, pour la première fois depuis 16 ans.
    2. Schumacher, Salo et Irvine font des prouesses.
    3. A Monaco, doublé Ferrari pour le dernier Grand Prix du Siècle : Schumacher et Irvine.
  • Ferrari F1 2000.
    1. Voiture et année de tous les records avec les pilotes Schumacher et Barrichello.
    2. 170 points en Championnat, 10 victoires et 10 pole positions.
    3. Double titre de Champion des Pilotes et des Constructeurs.
  • Ferrari F 2001.
    1. Moteur Ferrari V10.
    2. Année exceptionnelle dans la lignée de 2000 avec la meilleure voiture et les meilleurs pilotes.
    3.  9 victoires (Australie, Malaisie, Espagne, Monaco, Europe, France, Hongrie, Belgique, Japon) – 11 pole positions.
    4. 179 points au Championnat des Constructeurs et 123 en Championnat des Pilotes.
  • Ferrari F 2002.
    1. Performances éblouissantes.
    2. 15 victoires sur 17 courses.
    3. 9 doublés et 10 pole positions.
    4. Double titre Champion du Monde des Pilotes et de Champion du Monde des Constructeurs.
  • Ferrari F 2003 – GA.
    1. Poursuite de la série vertueuse.
    2. 6ème titre de Champion des Pilotes pour Schumacher qui bat le record de 5 de Fangio. 5ème couronne d’affilée de Ferrari.
  • Ferrari 2004 – 655.
    1. Optimisation de tous les éléments du modèle précédent.
    2. Schumacher et Barrichello sont les pilotes.
  • Ferrari 2005.
    1. Schumacher et Barrichello sont les pilotes.
  • Ferrari 248 F1.
    1. La 248 F1 renoue avec le moteur V8 qui remonte à la 158 F1 de 1964.
  • Ferrari F 2007.
    1. Les nouvelles normes de sécurité de 2007 sont intégrées au cahier des charges.
    2. Kimi Raikkonen et Massa sont les pilotes.
  • Ferrari F 2008 – 659.
    1. Kimi Raikkonen et Massa sont les pilotes.
  • Ferrari F 60.
    1. Le nom de la voiture est choisi pour célébrer les 60 participations aux 60 Championnats du Monde de Formule 1 depuis 1950.
    2. Massa, Badoer, Fisichella et Kimi Raikkonen sont les pilotes.
  • Ferrari F 10.
    1. Le nom de la voiture renoue avec la tradition de se relier à l’année de référence 2010.
    2. Massa et Alonso sont les pilotes.
  • Ferrari 150° Italia.
    1. Le nom choisi par Maranello célèbre le 150ème anniversaire de la réunification de l’Italie.
    2. Massa et Alonso sont les pilotes.
  • Ferrari F 2012.
    1. Les pilotes sont Alonso et Massa.
  • Ferrari F 138.
    1. Le nom est le résultat de la combinaison du numéro de l’année 2013 et du nombre de 8 cylindres (8ème et dernière année du V8).
    2. Les pilotes sont Alonso et Massa.
  • Ferrari F 14T.
    1. Kimi Raikkonen et Alonso sont les pilotes.
  • Ferrari SF 15T.
    1. Vettel et Kimi Raikkonen sont les pilotes.
  • Ferrari SF 16H.
    1. 62ème monoplace construite par Ferrari pour le Championnat du Monde de Formule 1.
  • Ferrari SF 70H.
    1. Son nom a 3 explications : SF pour Scuderia Ferrari, 70 pour le 70e anniversaire de la Scuderia et H pour la nature hybride de son moteur
    2. La voiture de la victoire si espérée de l’allemand Vettel à Monaco en 2017.
    3. La Scuderia Ferrari n’avait pas gagné à Monaco depuis 2001.
    4. Ferrari obtient le 82ème doublé de son histoire, le premier depuis le Grand Prix d’Allemagne 2010.
    5. Sebastian Vettel remporte sa 3ème victoire de la saison, la 45ème de sa carrière et son 2ème succès à Monaco.
  • Ferrari SF 71H.
    1. Evolution de la 70H qui a fait des merveilles.
    2. Le halo de sécurité est la principale évolution visible.
    3. La couleur rouge est légèrement plus foncée et le blanc a quasiment disparu.
    4. Sous le capot on note une modification du centre de gravité et un changement du flux d’air.

 

Livres liés à Ferrari au Grand Prix de Monaco


 

Monaco-60-GP

2013Monaco – 60 Grands Prix de LégendeHenri Charpentier. Editions Solar.

 

1999. Sporatlas MonacoPatrick VerlindenEditions les 7 Collines.

 

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Site officiel Ferrari

 

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